Tu es l'homme que j'aime !

Un Week-end en préparation

Alors qu'il était sur le chemin du lycée, Aomine pensait de nouveau à sa soirée d'hier. Il l'avait passé avec une charmante fille. Bien évidemment cette jeune femme possédait en tout point ce qu'il recherchait, tout les critères indispensable pour ce dernier. Vous vous en doutiez il n'y en a qu'un : sa poitrine.

Cependant cette nuit avait un arrière goût amère d'habitude. Il fut vrai que depuis qu'il était en connaissance de ses sentiments envers son rival, la lumière de Seirin au cheveux carmins, il ne réalisait que des actions de ce type. Des coups d'un soir pour se vider la tête, et les couilles. Malheureusement, cette médicamentation n'avait plus aucun effet. Cela faisait bien trop longtemps qu'il agissait de la sorte.

Quelques temps avant la fin des cours il reçut un message de son ancien coéquipier invisible :

Kuroko :
Salut Aomine

Aomine :
Salut Tetsu ! Qu'est ce que tu me veux ?

Kuroko : Kise voudrait organiser un petit Week-end, celui qui précède les vacances, pour qu'on se retrouve tous ensemble. Et on voulait savoir si tu pouvais venir ?

Aomine :
Hum... ça pourrait être sympa.

Kuroko : On se voit dans deux jours alors. Pour qu'on puisse s'organiser tous ensemble, d'accord ?

Aomine :
Ça marche. A dans deux jours. Salut Tetsu !

Deux jours plus tard tout les conviés se rejoignirent dans un parc pour discuter des préparatifs. Ils abordèrent le lieu, la restauration, le prix etc... Dans ce groupe d'amis il y avait toute la génération miracle accompagnée par leur binôme ; à savoir Takao, Kagami, et Himuro.

La famille d'Akashi possédait une maison en bord de mer, non loin d'une ville. Il y avait assez de place pour tout ce petit monde. Les chambres se répartirent de la manières suivantes par couple de deux :

- Midorima/ Takao

- Akashi/ Kuroko

- Himuro/ Murasakibara

- Kise/ Momoi

- Aomine/ Kagami

Dans son esprit Aomine fut plus que ravi. En effet il dormait dans la même chambre que son crétin de rival qu'il aimait tant. Pour l'as de Seirin, c'était une autre histoire, bien évidemment cela ne le dérangea pas d'être dans la même chambre que le bronzé. Ce qui le perturba c'était de s'en savoir soulagé. Pourquoi avait-il éprouvé ce sentiment ?