CHAPITRE 2

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"Aller viens! Rentre, tu attends quoi?!"

Le jeune homme qui m'a ouvert la

porte me répète ses mots plusieurs fois.

- Tu attends quoi? Cri-t-il

Je viens de me rendre compte qu'une de ses personnes qui m'ont attaqué il y a a peine dix minutes avaient réussi à me décrocher une balle dans la jambe.

- Viens, les rôdeurs ne vont pas tardé à arrivé
- J.. je.. je n'y arrive pas, mais qui va venir, que se passe t-il ?
- Comment sa tu n'y arrive pas?
- Je suis blessé.

Il sort vite et viens me prendre dans ses bras pour me mettre à l'abri dans le camp. Dès mon entré il ferme vite le portail. Une orde de jeunes hommes arrivent, ils me regarde bizarrement. Un homme sort de la foulle et s'avance vers moi et le garçons qui ma sauvé.

- Derek! Tu sais très biens qui ne faut pas ouvrir la porte sans mon autorisation!
- Je suis désolé, mais elle allait se faire tuer.
- Tu sais même pas qui c'est! Peut-être que c'est une éspionne! Tu nous mets tous en danger!

L'homme s'avance plus près de moi

- Comment t'appelle tu?
- Euh.. Sevan
- Bien, Sevan, écoute moi bien, ici c'est moi qui commende et je n'accepte pas que mon frère me désobéisse pour te sauver.
- Je suis désolé. Mais j'allais mourir dehors, ton frère a juste fait se qui lui semblait le mieux à faire.
- Ah car tu crois que je vais te laisser la vie sauve? Je vais laisser le choix au groupe: soit on te tue soit on te relâche dehors et tu te débrouille. Que le vote commence!

Je me sens si seule.

- Qui vote pour la tuer ?

Personne ne lève la main, l'homme regarde les autre et il lève sa main, d'un coup toutes les autres mains se lèvent.
Sauf celles de celui qui ma sauver...Derek

- Alors Derek tu préfère qu'on la relâche seule et sans défense?
- Tu fais pitié Kayle, elle t'a rien fait bon sang.

Ce monstre s'appelle donc Kayle.
Derek s'approche du groupe et leur dit:

- Vous allée vous laissez diriger vos pensé pas lui?! Montrez lui que vous ne voulez pas qu'elle meurt? Car Kayle veut faire croire qu'il fait preuve de bonté en vous proposant deux choix, mais dans les deux cas elle mourra!

Toutes les mains se baisse. Ils me regardent plus bizarrement que avant...

Le MurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant