Chapitre 5

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2 chapitres a la suite c'est K-do <3 <3

PDV externe :

Une semaine c'était passé depuis « l'accident » du couloir. Les deux ennemis ressassait indéfiniment les même questions dans leurs tête « Pourquoi elle ? Pourquoi lui ? Pourquoi j'ai ressenti ça ? »

Ils n'avaient cessé de s'échanger des regards furtifs et gênés. Une fois en cours de métamorphose, Hermione avait senti sa nuque lui brûler, comme si quelqu'un l'épiait intensément elle se retourna et tomba sur le regard de Malefoy. Il tourna derechef la tête et feint de s'intéressez au cours de la vieille Mc Gonagall.

Les jours défilaient et nos deux compères ressentait un manque important lequel ? Ils n'en savaient rien. Hermione se faisat accoster par par des garçons au moins 5 fois par jour ce qui avait le don d'agacer Ron, en même temps comment leurs en vouloir, Hermione était devenue sublime. Malgré tous cela elle passait de moins en moins de temps avec ses amis, préférant la solitude à la convivialité de ses meilleurs amis. A cause de cela il y eu même une dispute entre Ron et Hermione.

PDV Hermione :

J'étais confortablement installé dans la salle commune, un bouquin sur les genoux, survolant les mots, je n'arrivais pas à me concentrer. Et cela depuis une semaine, depuis cet incident dans le couloir, le serpentard hante mes pensées, m'empêchant de dormir, de travailler. Je m'éloignais de plus en plus de mes amis et je me sentais réellement mal. Je ressentais un trou béant dans ma poitrine, un manque considérable. Alors qu'elle tournait la page sur laquelle elle butait depuis 5 minutes Ron, Harry et Ginny firent leurs apparitions dans la salle rouge et or.

- Salut vous. Lança t-elle à l'intention du petit trio.

- Salut Mione. Dirent Harry et Ginny en même temps

- Depuis quand tu nous adresses la parole ? Je croyais qu'on n'était pas assez bien pour toi. Incendia Ron

- Je n'ai jamais dis ça Ron.

- Tu devais le penser trop fort ! C'est sure tu préfères passer sous tous les mecs de Poudlard comme une chienne.

Aïe sa fait mal ! Je me lève prise d'un élan de colère envers le rouquin, je pointe un doigt vers lui et me met à crier :

- Ronald Weasley comment oses-tu dire ça ? Comment après tous ce qu'on à vécu tu oses me dire ça à moi. Me traitant limite de pute...

- Mais tu n'es q'une pute, une vulgaire sang de bourbe.

Les mots faisaient mal, bien plus que des gestes il continua pourtant :

- Nan mais regarde toi ! Regarde comment tu es habillé, une pute je te dis !! Rien que ça, une vraie chienne. Tu aimes hein ? Te faire draguer par tous ces sangs purs prétentieux et arrogants

Je ne pouvais en entendre plus, je partis en courant, passant entre Ginny et Harry qui avait la bouche grande ouverte Je sortis en trombe e la salle commune, les larmes dévalaient mes joues, creusant des cillons sur mes pommettes. Je courais sans m'arrêter, trébuchant mais en me relevant aucune douleur n'égalait ce que je ressentais à ce moment là. Je bouscula quelqu'un mais continua ma route, les larmes coulaient en continu, ne semblant pas vouloir s'arrêter. Je courus dans le jardin de Poudlard, le mordant froid de l'air vint me glacer le visage déjà ravagé par les larmes, il faisait déjà nuit en cette froide soirée d'octobre, mais je m'en contrefichait, rien ne pourrait apaiser ma douleur. J'étais mal, oh oui tellement mal. Je courais toujours et m'arrêtais sous un saule pleureur, dont les branches tombaient si bas que personne ne vous verrait si vous vous adossiez au tronc, c'est ce que je fis, je me laissa glisser le long du bois rugueux, me griffant le dos. Mon cœur saignait, j'avais mal comme pas permis, j'enfonça mes ongles dans ma chair, espérant atténuer ma douleur morale par une douleur plus physique, je voulais sombrer dans un néant, mourir, m'enfouir dix pieds sous terre, mes ongles commençaient à laisser des marques net et rouges sur mes poignets, quelques gouttes de sang commençaient même à s'échapper de mon bras rougis par mes agressions continuelle, tellement préoccupés par mes ongles et mon bras que je ne l'entendis pas arriver.

De la haine nait l'amour [Dramione]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant