{HS}

75 5 0
                                    

Il fait nuit, minuit est passé depuis un moment et mes yeux restent péniblement ouvert fixant le plafond noirci par la luminosité négative dans ma chambre

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Il fait nuit, minuit est passé depuis un moment et mes yeux restent péniblement ouvert fixant le plafond noirci par la luminosité négative dans ma chambre. Mon corps qui me fait souffrir est allongé comme un mort sur mon lit, seule, je regarde l'ombre qui se forme avec la couleur noire qui a envahit la pièce. Ma poitrine me brûle, mon cœur tambourinne contre ma cage thoracique, essayant de trouver une issue et quitter mon être, mes yeux fatigués luttent pour ne pas sombrer dans les cauchemars qui me suivent et ma tête se confond à un écho qui répète des phrases tournant en boucle dans mon esprit rongé par des sentiments mortels. Le bruit de ma montre résonne dans ma chambre vide de sensations où une faible musique tente de s'échapper de mes écouteur posés à côtés de moi jouant une musique d'une de mes innombrables playlists. Mon âme est torturé par ma raison qui devient folle, mon esprit tente de réfléchir mais sa raison est parti et il es devenu la maison de mes pensées noires comme la noirceur qui continue de recouvrir mon cœur tentant de battre égoïstement pour me faire subir cette façon de vivre ou de survivre sans montrer la douleur qui nous tiraille et qui nous ronge jusqu'au os, qui nous noie dans l'océan sombre où mes peurs et mes angoisses se réunissent pour boire une tasse thé mérité après avoir fait sombrer mon esprit qui leur sert de table. Mes yeux seuls reflètent toute l'angoisse qui reste enfermé, prisonnier de moi et tente de sortir pour faire dérailler une nouvelle personne. Mes lèvres tremblantes essayant en vain de rester retrousser vers le haut pour rassurer autrui qui me regarde comme un cas incapable de sauver, un être qui, de toute évidence, ne survivra pas jusqu'au prochain automne. Une adolescente à la vie aussi éphémère qu'un papillon et qui finira de rendre son dernier souffle aussi faible qu'un battement d'aile de l'insecte qui représente sa petite vie pleine d'adaptation, de souffrance et de solitude entouré de mensonge. Un papillon qui disparaîtra avec son esprit, son cœur et son âme pour s'envoler au loin et s'évaporer, libre comme le vent parcours le monde, comme le papillon parcours ses champs à la recherche d'une nouvelle fleur de nectar. Juste une adolescente aux ailes de papillons brisées, regardant le ciel bleu de ses yeux vert, une lueur d'espoir, de rêve et de vie, mais qui sombre avec sa folie à la vue de son être et de ses fines ailes fades prisonnière et blessée l'empêchant de voler au loin.

Voler vers une paix potentielle.






J'ai mis du temps avant de finalement publié ce texte écrit de mes mains. Je tiens à dire que je ne parle pas de moi, la personne représenté sors de mon imagination (peut être)

Il faut bien occupé ses insomnies.

Sur ce, bye

OS BTS/COMMANDEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant