White Horse

♧ Chapitre 4 ♧

Un après midi, je me baladais dans les jardins quand j'ai lever les yeux vers la fenêtre de Miles. J'ai sursauter en le voyant debout qui m'observait ; il était en costume, où plutôt en uniforme, et son regard noir était baisser vers moi. Alors, il leva les bras et ferma ses rideaux.

Ce soir là, alors que j'arpenter les grands couloirs du manoir, il y a eu une coupure de courant. Je n'y voyait plus rien. J'espérais retrouver ma chambre, mais c'est comme si tout les muscles de mon corps s'étaient paralysés. J'ai balader mes mains sur le mur pour avancer tout doucement. Je n'avais aucune idée de où se trouver ma chambre, et j'entendais des bruits douteux résonnaient un peu partout dans la bâtisse. J'ai soudain poussé une porte entre ouverte de la quel s'échappé de la lumière. Miles était allongé torse nu sur son lit, entrain de griffonner dans un carnet de dessins. Quand je l'ai vu, tout mon corps s'est mis a tremblait et j'ai rougis tellement fort que ma peau était chaude. Il avait une cheminé et une bougie posé sur sa table de nuit, alors il ne s'était surement pas rendu compte de la coupure de courant. Il a soudainement relevé les yeux vers moi, juste les yeux.

- Qu'est-ce que tu fais là ?

- Huh...Je-Je cherche ma chambre.

À la lumière du feu crépitant, sa peau avait pris une couleur mielleuse, et sur son corps refléter la couleur chaleureuse des flammes, car il transpirait. Ses yeux étaient aussi noirs que du charbon mais brillait eux aussi. Il a doucement posé son carnet de dessin, puis s'est levé très rapidement ; mon coeur battait de plus en plus vite tendis qu'il avancé de plus en plus près, puis une fois planté devant moi, il m'a fait un grand sourire avant de claqué la porte, tellement fort que mes cheveux ont flotté durant un cour instant. Je suis resté là, les yeux grands ouverts dans l'obscurité, a essayer de comprendre ce qui venait de ce passer. Soudain, la lumière s'est remise en marche, alors j'ai continuer ma route les poings serrés, ce qu'il pouvait être...Méchant !

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Les semaines passées, et j'étais de moins en moins sereine au sein de mon nouveau foyer. Peut importe où je me trouvais dans la maison, je me sentais observée. Il me fallait m'enfermer dans ma chambre pour que ce sentiment insupportable disparaisse, et j'éprouvais une crainte extrême d'en arriver là.

Miles était celui que je craignais le plus. Mais pendant tout ce temps enfermé (dans le manoirs), je ne l'ai presque jamais vu.
Or, Flora et moi passons beaucoup de temps ensemble, je pus donc remarquer un changement progressif de sa personnalité. Par exemple, un jour, alors que je traînais mon corps lourd d'ennuis à travers les couloirs, j'ai étais témoin d'une scène qui m'a beaucoup préoccupé : La porte de la salle de bain était grande ouverte, et Flora était agenouillée sur le sol au bord de la baignoire, dos à moi.
- Qu'est-ce tu fait ?- Ai-je demandé, dans l'espoir de me joindre à elle pour tuer le temps. Elle n'a pas répondu, alors je me suis approché d'elle pour me pencher au dessus de son épaule et regarder dans la baignoire. Toutes ses poupées flottaient sur le ventre.
- Qu'est-ce tu fait, Flora ? - Ai-je à nouveau demandé, cette fois plus inquiète que curieuse.
- L'homme dans la penderie m'a dit que si je ne le fesais pas, c'est moi qui nagerai sur le ventre.-

Après ça, les événements macabres concernant Flora ce sont succédés. Comme par exemple cette autre soir : nous jouons à deux, se courant après pour se battre futilement, lorsqu'elle ma attrapé. On est tombé au sol en pleurant de rire, elle me chatouillait le coup et m'écraser par terre. J'avais du mal à respirer tellement je riais.
- Stop, ahah ! Si tu me tues, je ne pourrai plus jouer avec toi. - Je l'ai dit sur le ton de la plaisanterie, mais sa réponse m'a glacé le sang, J'en ai eu des frissons jusqu'en bas du dos :
- Oui mais moi, je pourrais encore jouer avec toi.-