Hafsa - Mariée à un manipulateur

O8.

On arrive devant un restaurant parisien bien famous, le voiturier prends les clefs à Ismaïl et nous entrons dans le bâtiment. Personne, il n'y avait personne. Monsieur avait littéralement privatisé le restaurant, et une seule table était complète dans laquelle plusieurs personnes rigolaient ensemble. Ils avaient l'air de se connaître, il y avait 3 personnes qui dès que nous sommes arrivés on arrêtés de parler.

- Ismaïl: Fais moi pas honte.

Des pics et encore des pics.

On s'assoit et Ismaïl les saluts. Ils se présentent tour à tour devant moi et de ce que j'avais compris, c'était des amis proche d'Ismaïl, je mettais alors des visages sur des noms familiers. Il m'en avait déjà parler quand il faisait encore tous pour m'avoir.

- Ali: Alors c'est elle ta femme, petit coquin va.

- Raquel: T'es entrain de la gêner la pauvre, calcule le pas il veut que prouver.

- Ismaïl: Ali commence même pas.

- Ibrahim: Ismaïl marié, comment elle fait c'est pas possible.

[...]

On avait quand même passer une bonne soirée. C'était divertissant. Mais je suis toujours autant choqué que Ismaïl m'ait présenté à son entourage, bipolaire ce mec. Y'a même pas quelques heures il restait froid et distant avec moi comme si j'étais là plus mauvaise personne sur terre, et devant eux il lui arrivait de sourire et même de rigoler. J'étais entrain de regretter la personne que je pensais épouser et en même temps j'en tombais folle amoureuse. Paradoxale hun. Je ne me comprenais pas moi même.

On est finalement partie se coucher dans les alentours de 00h, j'avais décidé de ne plus dormir avec lui. Et donc j'étais une fois de plus partie me couchée dans la chambre d'à côté. On était décidément pas du tout du même avis.

- Ismaïl: Toi tu commences à me plaire.

- J'ai fais quoi encore.

- Ismaïl: J'vais pas te réveiller tous les jours pour te dire d'aller dormir dans ma chambre.

- J'en ai pas envie, alors quoi ? Tu vas me forcer?

- Ismaïl: T'inquiète pas j'en aurais pas besoin. Saches juste que c'est ici que je baisais mes putes.

- Tu blagues là.

- Ismaïl : Non.

- Si.

- Ismaïl: Non.
Il rit.

Il m'a pas laisser le temps de répondre et il est partie dans sa chambre. Moi, je fermais les yeux mais à chaque fois que je les ouvrait et que je regardais cette chambre je le voyais faire ses ébats dans l'endroit même où j'étais couchée. L'idée même me montait à la tête jusqu'à m'en rendre folle. J'étais littéralement en psychose, en train de l'insulter de tous les noms possibles et inimaginables.

Je me suis levé, j'ai pris un de mes peignoirs fin et j'ai ouvert la porte dressant devant moi un Ismaïl presque tous nu.

- Mais habilles toi au moins.

- Ismaïl: Et pourquoi? Parce que madame a changé d'avis je dois changé mes habitudes? C'est chez moi ici.

- Ouais bah moi je dors pas ici avec toi si tu mets pas au moins un short.

- Ismaïl: Ouais c'est ça ouais, t'es pas plus habillée que moi.

Il m'a ignoré plus qu'autre chose. Et est partie se couché bien au milieu du lit, j'le déteste c'est incroyable. Je m'approche doucement du lit, sous son regard qui comme d'habitude est un peu beaucoup trop instant.

- Pousses toi je vais me coucher, si tu permets.

- Ismaïl: Bah couches toi t'attends quoi là.

- Eh écoutes, il est 01h du matin j'suis fatiguée. J'ai pas envie de parler avec toi donc pousse toi.

- Ismaïl: Tu parles à qui? Sa y est tes seins ils ont poussés on resp[...]

- Sale obsédé va, tu mates qui?

- Ismaïl: Fermes ta gueules pour voir, tu m'déranges la. Tu veux te coucher, couches toi et rien que me casses pas les couilles.

- T'as tellement changé, je te reconnais pas.

- Ismaïl: Au contraire, t'as juste le vrai Ismaïl devant toi. Je t'ai eu, comme je te l'avais dis, j'ai plus rien à cacher maintenant. Bon moi demain je taff, bonne nuit ma femme.

Je ne lui réponds plus, il attends que ça de toute façon. J'ai finalement daigné me couché à l'extrémité de Ismaïl pour ne pas touché un seul millimètre de peau qui pourrait lui appartenir. On était pas du même avis, il éteins alors la lumière avant d'attraper ma cuisse d'une rapidité incroyable avant se mettre aus dessus de moi.

- Tu fais quoi là? Mais pousses toi.

J'avais chaud, très chaud. Et son entre-jambes que je pouvais sentir à travers ce qui lui servait de caleçon n'arrangeait rien. Son souffle se faisait sentir jusque dans le plus petit de mes cheveux. J'étais stoïque, presque incapable de bouger un seul de mes membres. Il a doucement collé son front au miens, je retenais ma respiration. Quand d'un coup il arrête tous, et se recouche correctement avec de sortir son meilleur rire.

- Ismaïl: J'voulais juste vérifié si je te faisais de l'effet et apparemment j'suis pas le seul qui a chaud..

- Tu racontes n'importe quoi, espèce de sale perver.

On a finit par s'endormir, chacun de son côté.

Ce n'est que le lendemain en me levant que j'ai réalisé ce qu'il s'était passer hier.