Chapitre 17 : reciprocité ? 💫

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- tu tiens toujours à moi ? me demanda-t-il tandis que nous étions toujours l'un en face de l'autre dans le couloir

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- tu tiens toujours à moi ? me demanda-t-il tandis que nous étions toujours l'un en face de l'autre dans le couloir.

Alors que les mots restèrent bloqués dans ma bouche, la porte d'entrée s'ouvrît et très vite des pas retentirent dans les escaliers. Je me redressa suivi de Lucas.

- Ça va ? M'interrogea Zoé qui se tenait face à moi avec Marine. Tu as pleuré ? Elle me regarda intensément avant de se tourner vers Lucas et le regarder méchamment. Qu'est ce que tu lui as encore fait ! L'accusa-t-elle. Ça ne t'a pas suffit que ta connasse de copine la frappe ?

Je tourna la tête vers Lucas qui semblait furieux.

- laisse tomber Zoé, allons nous coucher. Lui dis-je en saisissant son bras et en rentrant dans notre chambre. Je me tourna une dernière fois avec Lucas, qui resta au milieu du couloir à nous regarder avant de finir par se détourner et descendre l'escalier.

Je me tourna vers le réveil : 5h30

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Je me tourna vers le réveil : 5h30. Impossible de dormir, pas après ce que Lucas m'a dit ce soir. Il m'aime, je n'arrive pas à y croire. Il faut que je lui parle.

Je sortit du lit en faisant un minimum de bruit pour ne pas réveiller zoe qui dormait à point fermée.

En arrivant devant la porte de sa chambre, je frappa doucement. Aucun bruit. Je tenta de rentrer et avança dans sa chambre doucement n'y voyant pratiquement rien.

Je sentis le rebord de son lit contre mes jambes et me pencha pour m'y assoir mais je compris très rapidement que son lit était vide.

J'alluma la lumière de sa table de chevet et je remarqua qu'effectivement la pièce était vide. Naturellement mon regard parcourra la pièce et s'arrêta encore sur cette photo. Je me leva et l'as pris entre mes mains.

Nous semblions si heureux dessus. En me regardant le sourire aux lèvres, je compris qu'il était évident que déjà à l'époque, j'étais amoureuse de lui.

Ce Lucas me manque, et notre complicité me manque. Même si j'ai encore du mal à me dire que le début de notre relation a débuté par un mensonge et un stupide pari, j'ai envie de lui pardonner.

Je reposa la photo sur le meuble et décida de remonter rejoindre zoe avant qu'elle ne s'aperçoive de ma disparition.

Le lendemain matin

- j'espère que vous êtes motivé et que vous avez bien dormis car on a plein de chose à préparer pour la fête de ce soir ! Nous annonça Simon hyper enthousiaste.

Ce soir, c'est la fin de cette année pourrie. A minuit, adieu 2018 et bonjour 2019. Nous le regardions en hochant la tête alors que nous déjeunions. Il était seulement 10h quand Zoé m'a sauté dessus ce matin pour me réveiller.

J'ai très mal dormi, n'arrêtant pas de ressasser sur Lucas. D'ailleurs en parlant de lui, d'après ce que j'ai compris il ne serait pas rentrer de la nuit. Probablement parti soigner tiphaine me murmura ma conscience.

- donc je propose qu'on commence pas dégager les meubles du salon pour faire une piste de danse pour ce soir. Il y aura combien de personne Simon ? Demanda zoe

- une cinquantaine, je pense. Confirma ce dernier

Nous nous activions et tandis que les filles et moi même allions mettre les objets de décoration en lieu sûr, les garçons déplacèrent les meubles dans le garage

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Nous nous activions et tandis que les filles et moi même allions mettre les objets de décoration en lieu sûr, les garçons déplacèrent les meubles dans le garage.

La porte claqua et nous nous tournions tous vers le bruit. Lucas se tenait dans l'entrée, examinant le salon pratiquement vide. Son regard se posa sur moi quelques minutes avant qu'il parte dans sa chambre sans prononcer un mot.

- dis donc monsieur est encore de bonne humeur ! Commenta marine.

- il doit avoir ses règles ! Plaisanta Simon. Bref assez parler de lui, on s'y remet ?

J'étais dans le placard à essayer de mettre un vase sur le haut de l'étagère quand une main saisie la mienne pour m'aider

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J'étais dans le placard à essayer de mettre un vase sur le haut de l'étagère quand une main saisie la mienne pour m'aider.

Je me tourna et me retrouva face à Lucas.

- merci dis-je timidement

Il me regarda et referma la porte du placard derrière lui. Nous étions dans un petit espace étroit, seul.

- tu es venu dans ma chambre ? Me demanda Lucas de but en blancs

- non mentais-je

- tu as perdu ça. Il me sourit et me tendit mon bracelet. Il était sur mon lit, bizarre étant donné que tu ne sois pas rentré dans ma chambre.

- bizarre en effet

- pourquoi tu es venu dans ma chambre hier soir, helena ? Me demanda-t-il sérieusement

- je voulais qu'on parle mais tu n'étais pas là.

- On peut parler là, non ? Dit-il en se rapprochant de moi.

- je n'arrête pas de penser à ce que tu m'as dit depuis hier soir.

- et ?

- j'ai des sentiments pour toi.

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Je te déteste ! (En cours ..)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant