Un brouhaha me retira brusquement de mon sommeil, le lieu où je suis est très agité ; c'était soit un jour de marché soit un jour de fête ; dès que je voulus bouger une main m'attrapa ; je sursautai, le bonhomme que j'avais déjà vue me fixait et il n'avait pas l'air très heureux :
« - Est-ce que vous êtes capable de me voir ? » commençai-je afin de briser un silence qui me mettait mal à l'aise.
« - Oh que oui ! figure-toi petite ? dit-il en vérifiant ses notes, je ne vois que toi depuis un certain temps, et selon les données dont je dispose : tu vas me mettre dans une galère ! »
« - Vous me connaissez ? s'il vous plait dites-moi !!! » en le suppliant.
« -Non, ce ne serait pas possible vu la gravité de ce que tu as commis ! » hurla-t-il.
« -Je n'ai absolument rien fait. » répondis-je le plus calmement possible.
« - PETITE IGNORANTE, SAIS-TU QU'IL NE FAIT PAS MODIFIE LE PASSE SINON LES REPERCUTION SUR LE FUTUR PEUVENT ETRE TERRIFIANTES ! » expliqua-t-il indécemment.
« -A ce que je sache ce passé-là dont vous parler est le mien, n'est-ce pas ? contre attaquai-je, et si bien compris d'après ce que je vis, je dois agir quand-il le faut. »
« -Tu n'es qu'une simple insouciante qui n'est pas consciente des conséquences. »
« -Que peut-il se passé de pire ? Ne suis-je pas morte ? »
« -Tu cesserais d'exister dans ton époque, tu resterais prisonnière dans le temps. »
« -Ecoutez MON BONHOMME, je comprends que vous agissez par devoir mais croyez-moi je suis morte, je n'ai plus rien à perdre, mais je dois savoir la raison qui m'a menée à vivre ça et personne ne m'arrêterais. » signalai-je le défiant.
« - Sauf que tu n'es pas morte ; et tu as pleins de choses à perdre. »
« - Pourquoi êtes-vous aussi sûr, éclairez ma lanterne. »
« -je ne peux rien te dire, car tu es un test et il est de ton devoir de découvrir ce mystère. »
« - Bah ! vous l'avez dit, laissez-moi donc, j'ai encore de l'ancre sur les mains, je vous demande pardon. »
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Je me dirigeai directement au toilettes cet appartement à l'ambiance festive, si comme-ci ma mémoire savait le plan par cœur, logiquement c'était la mienne.Les couloirs étaient vides tout le monde était occupé, je me postais devant le miroir, je n'avais pas de reflets. On dit qu'à leur mort, les gens regardent devant eux tels un caléidoscope, n'est-ce pas cela que je suis en train de vivre ? Comment cet imbécile à la certitude de me connaître alors que moi personnellement je ne sais qui suis-je ?
Imbécile va, s'il n'était pas plus vieux, je lui aurais réglé son compte.
Quand je suis sortie, en face il y'avait ma mère dans la cuisine, plus jeune, plus belle, plus raffinée, était en train de remplir un bol de sel, est juste très mignonne, à vingt-cinq ans les femmes sont toujours à leur jeunesse épanouie, elle avait l'air heureuse, je la suivis ou plutôt nous la suivîmes jusqu'à la terrasse où ma grand-mère me tenait entre ces deux bras, il y'avait toutes les familles regroupées. Mon père et le boucher maitrisait le mouton car il était de nos traditions musulmanes d'égorger un mouton pour le baptême d'un nouveau-né. Petit à petit mes souvenirs revenaient, je suis tel un auteur qui utilise une focalisation zéro et d'découvre ses péripéties avec les lecteurs. J'étais à l'écart avec le bonhomme qui devenait très collant à son tour accompagné de ses notes mystérieuses.
J'observais toute la scène je ne voyais qu'une seule chose : DU BONHEUR.
Malgré le vacarme, ma petite version dormait à poings fermés, je m'approchais d'elle, elle se réveilla et me câlina la joue ; je ne pus retenir les larmes plus que ça, le pot de colle remarqua mon trouble et me poussa violemment loin d'elle. Sous son fameux prétexte.
J'avais décidé qu'il avait dépassé ses limites et qu'il fallait le gifler, or je ne trouvai meilleure besogne que d'aider le dernier mouton qui avait réussi à se détacher de la moitié de la corde. La bête fila droit vers le trapu, le renversa avec ses notes. Le benjamin de mes oncles remarqua le fuyard et hurla au cadet de lâcher la caméra pour l'aider ; j'éclatai de rire devant ce désordre général que j'oubliai toute ma colère, mes rire redoublèrent en voyant les efforts vains du trapu essayant de relever. Qu'était-il un ange, un démon ?
Je saisis la faite qu'il se soit séparé de ses notes, je trouvai un badge où était écrit "FINOPICO" : un nom si ridicule qui lui allait bien.
Dès que je voulus passer aux notes, il m'avertit :
« - ne touche pas à ça ou tu vas regretter. »
« - Vraiment ? » le défiai-je
Il paraît que je suis pas un fan des ordres .ma main se mît au contact du papier, mon corps flottait, je luttais tant bien que mal pour ne pas me détacher de la réalité.
La dernière est mon oncle qui félicitait son frère d'avoir sauver le fuyard et « FINOPICO » qui criait :
« -NOOONNN, tu vas exploser !!! »
PUIS. BLANC PLUS RIEN.
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Coucou les tomates cerises 🍒
Je suis venue vous déranger pour vous demander ou vous en êtes et comment ça se passe,j'espère que tout va bien ❤️
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💫ICE CREAM 💫( En Correction)
ParanormalHey you there, "ICE CREAM " est un récit 100% tiré de la vie réelle, notre vie où nous vivons tout simplement une routine soit banale soit tourmentée et que des fois pour sortir de cette routine; on prend l'intrépide initiative de tout bouleverser p...