💫ICE CREAM 💫( En Correction)

•CHAPITRE VI

               « -Est-tu morte ? » me secoua Finopico tout en m'enlaçant voyant que j'ouvrais les yeux.et je pleurais. 

            « -Je te croyais morte ! » hurla -t-il.

Décidément, il adore hurler ce monsieur.

              « - MERCI infiniment de t'être inquiété, mais il faut que vous sachiez que quoiqu'il arrive, s'il est écrit que ça va changer ; le destin changerait et puisque cette opportunité m'a été accordée je ne la laisserais pas m'échapper, déclarai-je fermement.

Je le câlinais ; je ne sais pour qu'elle raison ; j'ai juste senti qu'il fallait le faire.

                     « -OUF, regarde ou j'en suis, moi qui était juste donner un avertissement, je fais du baby-sitting.

                       « - Finopico je suis une jeune femme, et puis il faut dire que je commençais à me sentir seule, tu me tiens compagnie, constatai-je avec une pointe de tristesse.

Le rouge lui monta aux oreilles :

                « -Finopico !!!! Tout court et en plus je m'appelle AZAR insolente !Chef FINO à la rigueur, DECIDEMENT FAUDRAIT QUE T'APPRENNES TOUT ! »
« -vous ne me faîtes pas confiance, Finopico ? »

Et il rouspéta de plus belle, avez-vous cru Finopico rougir à un compliment ?

J'effaçais mes larmes, plus le temps pour se lamenter, j'ai du pain sur la planche.

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« -Où sommes-nous Finopico ? » demandai-je.

« -Ne vas-tu donc pas mûrir ? » me sermonna-t-il.

« -Allons, allons faudrait t'y habituer ! » le taquinai-je.

« -Pour être honnête, nous ne sommes nulle part, tu es notre guide, tomate. » répondit-il

« -Et si tu me laissais toucher d'autre feuille qu'on ne finisse ! »

Il me regarda d'un regard mauvais et prit de la distance. En revanche il me proposa du papier vierge et un stylo ridicule.

« - MERCI, CA M'APPORTERAIS DE L'AIDE. » ironisai-je.

J'eus un souvenir qui me prouva comme j'étais asociale donc je décidais que notre prochaine destination serait "mes neufs ans", une migraine atroce plus atroce que les précédente me domina, Finopico rangea ses notes et tendit les mains pour me rattraper de justesse et dire que les migraines précédentes étaient plus douces. Quelle ironie !!

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                          « -Va te brosser les dents »

Je me relevai en sursaut si comme si on s'adressait à moi, or ce n'était que ma mère qui l'ordonnait à Mia, ma frangine. Ma mère n'avait pas trop changé toujours aussi belle sauf que quelques mèches blanches apparurent sur sa chevelure ce qui lui donna un air très majestueux, je ne pense pas voir ma mère moche un jour.

Moi j'étais dans la cuisine à chiper des gâteaux salés cachés derrière le frigidaire, une vraie chipie !

Puis je courus aux toilettes pour me brosser les dents à mon tour, et avant de dormir j'écrivis quelques lignes ; la petite devant moi avait un pouvoir extraordinaire : le pouvoir des mots.