Pinky n'arrête pas d'aboyer depuis quelques minutes. Tante Jenna qui ne supporte pas les animaux s'énerve et me demande depuis le salon de la faire sortir. Je descend dix minutes plus tard avec une tenue de sport.
Le footing nous fera sûrement du bien à Pinky et moi. je lui met sa laisse, range mon carnet de croquis dans mon petit sac et direction le parc. Après quelques mètres parcourus, Pinky refuse de continuer.
-Allez Pinky encore un effort !
Je finis par la porter jusqu'au parc. Je m'installe sur un banc avec la laisse de Pinky en main. Le beau temps qu'il fait aujourd'hui m'inspire. Je dessine un pantalon que j'avais imaginé sur Tony ce matin.
Quelques minutes plus tard
J'ouvre les yeux lentement.
-Merde je me suis assoupie.
Je crie. La douce chanson de la nature m'avait bercé.
Pinky n'était plus là. Je cherche partout dans le parc mais aucun signe. Je me renseigne chez un vieillard assit avec son bulldog sous l'un des arbres.
-Je l'ai bien vu ton chien ! Il poussait un chariot de glace en aboyant.
Affirme t-il.
Il ne doit pas avoir toute sa tête on dirait. Je le remercie puis continue mes recherches jusqu'à ce que je la retrouve 1 heure plus tard, jouant dans le sable avec une autre caniche dans le parc. Je cours donc la prendre avant de remarquer le bain de sable qu'elle a prit.
-Tu m'as fait peur Pinky! Non mais qu'est ce qui t'a prit !
-On se réveille enfin! Elle n'allait quand même pas te regarder dormir jusqu'à cette heure !
Affirme durement une voix masculine derrière moi. Je reconnais aussitôt... Oh mon Dieu, Je crois que je suis amoureuse
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-Monsieur LINS? Votre client vient d'arriver.
Affirme une belle demoiselle en costume. Ça doit être sa secrétaire. Elle me fait un léger sourire avant de me faire discrètement un signe de la main du genre "ne t'approche pas de lui"
-Merci de l'avoir gardé monsieur. Je me suis assoupie et...
-Bref...je m'en moque de toutes les façons.
Dit-il en prenant son chien. Frustrée, je voulu descendre ma chienne, et répliquer quand mon carnet de croquis tomba et s'ouvrit sur une robe que j'avais dessiné. Monsieur LINS n'arrêtait pas de regarder le dessin depuis le sol. Je m'empresse de ramasser, puis lorsque je décide de partir il me retiens par le bras.
-Waouh c'est vous qui l'avez réalisé ? C'est vraiment magnifique. Je suis monsieur LINS le propriétaire de...
