Sarah Collins vit à New York dans une famille plutôt aisée, et vient de fêter ses dix sept ans, et c'est peut être ce qui va changer sa vie. Au lycée Mensfield, un jeu malsain existe pour les élèves de dernière année. Les règles sont les suivantes.
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En fait, ils ne faisaient pas de boxe, ils me regardaient danser avec Lu. Hayden, Aaron, Raph, Mehdi, mais aussi Eden, Lucas et Ryan, à qui on avait passé le mot, nous regardaient et donnaient des notes à nos figures. Je lancais ma playlist et j'ai improvisé un duo. A la fin, ça m'a soûlé, je leur ai dit de faire de la boxe au lieu de glander, et ils sont paris taper dans des sacs. Maintenant, je m'échauffe en faisant de la gym. Lucie non plus n'a pas perdu la main, elle est vachement douée! On enchaine les flips arrières. Aaron s'approche de nous... Cela sens pas, ce coup là.
- On fait un petit pari sur le nombre de flips qu'on peut faire? Celui qui tiens le plus longtemps doit donner un gage à l'autre.
- Pari tenu, mon vieux.
Je le suis dehors. Les autres nous regardent et parient sur le gagnant. C'est un jeu débile, qui ne sert qu'à frimer, mais je suis sure de le gagner, alors autant participer. 3, 2, 1, Partez. Je me lance. 1, 2, 3, mais il tient le coup, le bougre! 4, 5, 6, je fatigue... Mon max, c'est douze, et encore, je me suis entraînée plusieurs heures avant d'arriver à ce nombre. 7, 8, ET IL A CRAQUELEE!!!! J'ai gagné. Lucie n'a pas participé, encore heureux, je n'aurais pas tenu face à elle.
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Les autres applaudissent. J'ai ganéééé. Je sais je suis un vrai bébé. C'est dans ma nature, j'y peux rien. Je lui dois un gage.
- Tu t'es dopée ou quoi?
- Absolument pas, je suis juste plus forte que toi.
- Je crois pas, non.
- De toute façon, je te dos un gage, mais la je suis crevée et j'ai pas d'inspi. On rentre?
- Ca marche. Tu viens Lucie?
- J'arrive! Lucas, tu veux t'incruster?
- Ce ne serait pas de refus.
Tout le monde se fat la bise, puis notre petit groupe de quatre monte dans la voiture d'Aaron, qui prend le volant.
Je crois que je me suis endormie, je ne me souviens pas de ce qu'on à fat hier, à part le réveil qui indiquait trois heures. Le compte des points d'hier m'à réveillée, mon portable à vibré dans ma poche arrière. Je me suis endormie toute habillée, et c'est le deuxième jour que je sèche. Il est quatorze heures trente. J'ouvre le mail.
