And Another Bite the Dust

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Mes paupières refusent de s'ouvrir, comme scellées par un tampon de cire. A vrai dire cela n'est pas mon seul sens d'obstrué, aucun son ne paraît à mes oreilles. Et pour ce qui est de l'ouïe et du toucher ils ne m'aident en rien à déterminer l'endroit où je suis. La pièce contient cependant une odeur qui m'est familière et inconnue, comme si elle avait toujours était là sans jamais que je n'y prêtes attention. Une autre chose  me dérange et celle ci vient de ma position. Je suis à la verticale comme suspendu par les poignets et bloqué au niveau des chevilles. Cependant ce qui m'interpelle c'est que je ne sens ni la froideur glacée de l'acier, ni la ferme rigidité du cuir. C'est comme si il n'y avait rien pour me retenir. 

Brisant ce silence mort, un acouphène vivace me brise les tympans, libérant par un système de machine de Goldberg mes paupières de leur pesant sommeil de plomb. A vrai dire ils ne me sont pas d'un si grande utilité que ça car je baigne dans de profonds ténèbres, qui contrairement au sons que je perçois restent stables et dans le même ton.  A une distance que j'associais à celle de quelques mètres ce battaient des voix étouffés par une porte. 

"MAIS QU'EST CE QUI M'A PRIS DE CONFIER UNE TACHES PAREILLE A DES IMBÉCILES COMME VOUS!!!!!!!"criait une voix à qui l'énervement ne sied guère. 

"Pourquoi tu t'en fais boss, lui répondit une voix nasillarde , Ivy c'est occupée de rendre le camion invisible personne ne peut savoir ou on l'a emmené."

" Elle est bien la seule compétente et méritante dans cette affaire. Pourquoi a-t-il fallut que vous l'enleviez au seul moment où il n'était pas seul???!! dit la voix du "boss" qui commençait à ce radoucir malgré quelques accents de colères."

"Oh! Ne me regarde pas comme ça! dit soudain une voix grave. Nemuri était à deux doigts de passer à travers la parois du fourgon alors je suis sorti avec mon masque. Et il était là, la suite tu la connait."

"A vrai dire, repris la voix nasillarde,   si j'ai bien calculé il devrait ce réveiller bientôt."

"Eh bien allons voir, sa limitera mon envie de vous étriper. Sauf toi ma chère." repris cette mystérieuse voix.
Des bruits de pas se dirigeait vers ma direction. Puis me parvient comme un son de bruit de clef dans une serrure. L'instant d'après une douce lumière m'aveugle par l'entrebaillement de la porte coulissante. Puis cette la porte s'ouvre plus grande laissant plus de cette lumière crème m'irriter les yeux.  Dans celle-ci ce tiens quatres silhouette une énorme que j'associe à la voix grave de tout à l'heure il est celui qui est le plus à gauche. À son opposé se tient une plus petite silhouette. Certainement la voix nasillarde. Au centre, ce tiennent deux ombres éblouissantes de lumière. Celle ce tenant en retrait à des cheveux longs et paraît avoir un profil plus féminin certainement "Ivy"  .
Ce qui me laisse la silhouette central le "Boss". À vrai dire sa silhouette est assez banale, taille dans la moyenne, sa carrure est certes plus développée  que la moyen il n'a pas  de muscles proéminent comme l'on l'air d'être ceux de son acolyte de gauche.
Puis il s'avance seul et ses bruits de pas résonnent pendant que mes yeux s'adaptent à cette agressante lumière. Si bien que son visage se dévoile entièrement lorsqu'il se place à quelques centimètres de moi et je comprends.

Ainsi mes yeux ce perdent dans ce qui ressemble à un miroir vieillissant. Ses yeux sont d'un marron vert comme les miens, il a aussi comme moi le nez parsemé de tâches de rousseurs. Il avait cependant ces cheveux plus sombres que les miens, il était rasé de près mais je devinait de sombres et épais poils de barbes. La dernière différence que je remarque n'est pas due à la génétique. Il avait une cicatrice qui partait de la commissure droite de ses lèvres pour venir s'évanouir sous sont œil droit. Puis il prend une inspiration.

"Tu es comme je l'imaginais petit frère quoi que un peu plus grand. dit-il de sa voix que je pu enfin identifier comme la mienne mais possédant quelques tons plus graves."

-Tu peu retirer ce masque que te confère ton alter. lui répondis-je du tac-au-tac.

-Oh! C'est à la fois mignon et blessant, tu penses que je ne suis qu'un usurpateur, il y a une part de bêtise dans ta réflexion. Nous sommes unis par les liens du sang que tu ne veuilles le croire ou non. dit-il en affichant un sourire malsain. Mais le plus blessant dans cette affaire c'est qu'ILS ne t'ont pas parlé de moi. Non! Papa et Maman non pas parlé à leur très cher fils Kyo qu'il n'était pas enfant unique et que sont frères n'était pas à la hauteur de leurs attentes. Alors ils l'ont placé en maison de redressement. Venant le voir une fois par mois me répétant et me donnant sans cesse les preuve d'un amour FACTICE, comme une façade de film Hollywoodien. Alors disons qu'ils ont reçus une sanction à la HAUTEUR de acte."

"Que leurs a tu fais? lui dis-je moins serrainnement  qu'escompté puis les pièces s'assemblent et je comprends. Non ce n'est pas toi? TU N'AS PAS PU ENFOIRÉ???!!!!!

-OH! Mais il est perspicace le frangin. Si c'est bien moi le seul et unique responsable. Je les ai tous les deux tués de mes propres mains." 

RejectOù les histoires vivent. Découvrez maintenant