Chapitre premier

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Un horcruxe sert à séparer une partie de son âme en la mettant dans un ou plusieurs objet(s) sans vies ou un être vivant, pour devenir immortel. C'est une forme de magie noir. Pour faire un horcruxe il faut tuer une personne n'importe laquelle. Mais quand nous en créons, une partie de notre âme devient de noir.

Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom en avait fait sept : Le journal de Tom Jedusor, la bague de Gaunt, Le médaillon de Salazar Serpentard, la coupe de Helga Pousffle, le diadème de Rowena Serdaigle, Nagini le serpent et Harry Potter.

Ses horcruxes ont été détruis par Harry Potter, mais savait-il qu'il restait un horcruxe ? Non, il en restait un que même les plus fidèles serviteurs du Lord ne savaient pas, lui seul en avait la connaissance. Le dernier horcruxe était un objet qui avait été utilisé plus d'une fois. L'objet en question avait sauvé des vies. Mais il avait une part d'obscurité en lui.

Nous sommes en 2000, trois ans après la bataille de Poudlard.

Malheureusement la prison d'Azkaban a subi une évasion de masse comme en 1996, et les partisans de l'ancien ennemi du monde magique se sont échappés de la prison qui était sensée être sous haute surveillance. Les détraqueurs ne s'occupaient plus de la prison mais les aurors qui s'en occupaient dorénavant étaient certes très compétant, mais assez faciles à corrompre. Les prisonniers pouvaient maintenant circuler librement même si des lieux étaient interdits. C'était la première fois depuis la mort de Vous-savez-qui, que cela arrivait. Cela faisait maintenant 3 ans qu'Harry avait battu ce monstre.

Harry et moi, nous étions donc en train de courir et de lancer des sorts pour nous protéger. Harry était la cible de tous les mangemorts comme tous ceux qui faisaient partis de l'Ordre du Phénix, mais principalement Ron, lui et moi, Hermione Granger. Nous étions le trio d'or, le fameux que tout le monde admirait mais il fallait savoir que Ron avait pris la grosse tête, même si on était ensemble, je savais qu'il me trompait avec Lavande, il n'étais plus celui que j'avais connu, il était devenu agressif, alcoolique et si mauvais. Il ne l'avait pas oublié depuis le temps où nous étions à Poudlard. Nous continuâmes à courir dans le ministère de la magie, avec Harry nous nous mettions d'accord pour utiliser mon retourneur de temps pour revenir dans le temps et prévenir le ministre de cette évasion de masse. Quand je commençai à tourner l'objet, un sort s'abattit sur celui-ci et le fit tourner sous les yeux d'Harry et des miens, nous nous retrouvâmes à une époque inconnue pour le moment.

Des aurors nous regardaient étrangement, du moins ceux qui n'étaient pas précipités par le temps, nous regardaient de cette façon. D'un accord commun, nous nous précipitions vers la sortie. En sortant nous découvrîmes un monde magique qui n'était pas de notre époque et en nous regardant bien, nous avions repris notre physique de quand nous étions en sixième année à Poudlard. Par terre, un numéro de la gazette des sorciers. Nous étions le 29 septembre 1945 ; avec l'argent qu'Harrry avait sur lui, nous nous rendîmes au Chaudron Baveur prendre une chambre avec deux lits séparés. Nous décidâmes d'envoyer une lettre à Dumbledore pour lui expliquer notre situation et si il ne pouvait pas nous faire venir à Poudlard en attendant que l'on trouve comment rentrer à notre époque.

Harry, envois la lettre à Dumbledore pendant que moi, je vais nous acheter des vêtements de cette époque parce qu'avec ceux-là on ne passe pas inaperçu.
-D'accord, je lui dis quoi exactement ? Et prends des trucs discrets.
-Ne t'inquiète pas pour ça ! Explique lui que nous venons du futur et que nous avons pris notre physique de notre septième année et que nous ne pouvons pas habiter au chaudron Baveur pendant longtemps et que ça serait étrange de voir des adolescents qui ne sont pas à l'école des sorciers pour cette époque. Tu as tout écouté ?
-Oui, oui... ne t'inquiète pas, je le fais tout de suite.

Je partis pour le premier magasin de vêtement que je vis, je n'allais pas mettre beaucoup d'argent dans ses vêtements. Je pris des vêtements de cette époque et regardais le prix, ce n'était pas très cher donc je pris tout le nécessaire que ça soit vêtement, livres d'école et des ingrédients pour des potions. J'avais bien pris deux heures. Je revenais à la chambre de l'auberge et vis Harry dans la chambre, en train d'ouvrir une lettre. Il me vit et commença à lire à haute voix : Miss Granger et M. Potter, je veux bien que vous veniez à Poudlard. Votre situation est bien ambiguë. Je ne suis pas directeur, bien sur je ne dirais pas à M. Dippet que vous venez du futur et je lui dirais que vous êtes des orphelins que j'ai rencontré cet été et que vous êtes très intelligent et que vous avez une bonne habilité à la magie. J'aimerais vous rencontrer avant que vous n'entriez à Poudlard ? Serait-ce possible ? Envoyez-moi une lettre dès que vous avez fini de lire celle-ci.

- Eh bien, qu'attendons-nous pour écrire cette lettre ? Allons Harry fait-la !
- Hermione écrit-la. J'ai écrit celle d'avant donc à toi d'écrire celle-là.
- D'accord si tu insistes. Je lui dis de nous rejoindre au chaudron Baveur tout de suite chambre 8 !

Harry acquiesça d'un signe de tête, J'écrivis la lettre et l'envoyai au professeur. Entre cinq et dix minutes étaient passées et on toqua à la porte. Harry alla ouvrir et nous vîmes le professeur Dumbledore, plus jeune que nous le connaissions.

- Miss Granger, Monsieur Potter, je suis heureux de vous rencontrer. Nous allons tout de suite à Poudlard pour poser vos affaires et que vous puissiez faire des tests de connaissances pour voir où vous en êtes. Le professeur Dippet l'exige. Bien sûr vous allez pouvoir dormir à Poudlard dans des chambres qui ne sont pas utilisées sauf pour nos invités.
- D'accord professeur. Mais allons-nous passer sous le choixpeau ?
- Miss, vous allez y passer car il nous réserve bien des surprises et il ne vous enverra peut-être pas dans la maison dans laquelle vous étiez.
- Ohh ! D'accord, Harry as-tu fini avec nos affaires ?
- Oui, j'ai fini de mon côté. Nous pouvons y aller.
- Bien, allons-y. Accrochez-vous bien à mon bras. C'est parti.

A suivre...

L'horcruxe oubliéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant