~Psychopathe~ [Reno AU]

M

Je te vois par la fenêtre de notre appartement de basse ville. Tu as les mains enfouis dans ton sweet shirt et le visage une fois de plus peint par le sang. Je te regarde dissimulés les preuves de ton délit sous ta capuche, empêchant la caméra de voir les tâches rougeâtre sur ta peau.

Tu es entré dans notre petit chez nous, partageant ainsi le poids de ton dernier crime avec moi. Depuis que tu es dans la pièce elle s'est assombris à mes yeux, tu rends tout plus sombre et étrangement, j'aime ça.

Tu as laisser l'utilme preuve de ta culpabilité tomber sur la table de la cuisine. Une lame dont le sang sec s'est effrité avec l'impacte. J'ai souris, aimant ta façon banale de vivre même après avoir fais l'impensable, l'irréparable.

<<Je vais prendre une douche. Puis tu m'as fixé quelques instants, ton regard est sombre, mais il ne me fait pas peur à moi, car je te connais déjà bien trop.

-Je viens avec toi.>>

Tu as osé l'ombre d'un sourire avant de te diriger dans la salle de bain. Je t'ai suivis dans le silence que tu imposais sur ton passage, un silence que j'aimais. Un silence qui voulait dire que nous allions le briser sous peu, car comme à chaque fois que tu arraches la vie, tu étais revenue excité, un poids peinant entre les jambes.

Un poids que j'aimais avoir en moi, sachant que tu me le réservait patiemment sur le chemin de ton retour.

Alors nous sommes montés dans la douche, le sang qui te recouvrait reprenait sa forme liquide tranquillement. Je t'ai aider à t'en débarrasser, mais avant que je puisse terminer je me suis fais plaquer contre la parrois de la douche.

Ta bouche parcourait déjà mon corps maigre, laissant des traces d'amour et de passion sur tout mon corps. Tu me marquais, tu mordais ma peau pour en boire le sang qui tombait. Tu avais du plaisir à me détruire de la sorte et moi je prenais du plaisir de tes actions.

Tu m'as retourner et tu es entré d'un seul coup, comme toute les autres fois. Pendant une demi-heure nous avons gaspiller l'eau de la douche, toi me parlant de ce que tu me ferais, entre tes respirations rauque, moi gémissant et accordant à tes pensées meurtrières. Juste en imaginant le sang couler des coupures que tu pourrais me faire, je sentais mon orgasme venir plus vite, mon corps voulant que cet ébat ce termine pour en commencer un plus violent et mordbide.

Nous avions enchaîner notre passion jusqu'à ce que tu arrêtes de faire jouejoue avec le couteau qui tranchait sans danger ma peau. Je n'ai pas eu peur, car je sais que tu m'aimes toi aussi, et une sensation brûlante viole ton coeur à tout instant, comme le miens.

Tu voulais me montrer comment jouer, comment l'excitation me prendrait quand le sang éclaboussèrait mon visage. Ça tombe bien parce que moi, je veux découvrir ces sensations, tes sensations auquel tu vas m'ouvrir les portes, me partageant ainsi le plaisir et la culpabilité.

Nous deviendrons complice de ces pêchers que tu as habilement inventé pour nous deux.