J'ai planté la lame dans son épaule pour le réveiller. L'adolescent c'est alors mis à crier et a pleurer. J'ai retirer le métal de sa peau avec une lenteur déchirante avant de laisser le tranchant chatouiller sa peau et délicatement l'ouvrir.
J'évite les veines importantes pour m'amuser plus longtemps, comme tu me l'as si bien montré.
Je caresse sa joue, il tremble et j'aime ça. Tu ne m'en voudrais pas si j'allais plus loin, au contraire, tu m'y encouragerait. Je me sens vide et tu le sais, tu dois déjà savoir que je fais ça, tu sais toujours tout de toute façon.
Je détache le pantalon du jeune devant moi et fais mon travail pour le rendre dur. J'observe son regard perdu, larmoyant, suppliant. Ça m'excite beaucoup, mais jamais plus que toi, car avec toi c'est différent. C'est moi, qui supplie, et c'est ma peur qui me donne envie.
Je coupe ses cuisses et regarde le rouge couler sur leur blancheur. Satisfait de mon oeuvre je quitte mon pantalon et m'assois sur lui, me pénétrant ainsi assez durement. J'envoie ma tête vers l'arrière et continue de me travailler alors que sur lui je dépose des marques permanentes.
Je pense à toi, en moi, avec moi, couvert de sang ou encore riant d'une manière malsaine. Tout ça c'est bien mieux que lui, mais il est malheureument ma seule option jusqu'à ton retour. Le dernier soir que je dois passer seul et je n'ai point été capable de résister une nuit de plus sans la luxure réel. Sans le sang et le sexe mélangés ensemble. C'est impossible d'y résister.
J'enfonce le couteau dans sa jugulaire à trois reprises et le regarde mourir alors que je me vide sur lui et son sang. Satisfait, enfin, par une chose plus concrète que mes doigts trop petit pour ressembler à ta présence.
Je ramasse tout rapidement et dissimule tout comme tu me l'as appris.
Je bouche l'entré avec une batch en plastique et brûle le corps sur le sol de béton. Je balaie les cendres dehors avec mon pied et les laisse partir dans le vent. Puis je retourne à la maison en donnant l'impression que je suis sortit de la boite de nuit.
Je n'ai plus qu'à attendre l'aube et logiquement tu serais de retour bientôt.
Je ne m'en peux plus de vivre sans toi.

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~Psychopathe~ [Reno AU]
FanfictionLà où Jeno apprend les joies de la lames à Renjun. Là où Renjun ce prend au jeu malsain qu'est le meutre en compagnie de Jeno. Violence, contenu sexuel, tordu, présence de fautes.