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Je t'avais attendue sagement à l'aréoport, quand tu m'as vue tu as rapidement dis au revoir a ta famille avant de venir vers moi. Je t'ais souris avec un bonheur intense et rapidement mon corps s'est collé au tiens comme il le rêvait depuis ton trop long départ.

J'ai pris une grande bouffé de ton odeur, puis discrètement laissé une marque d'amour dans le creux de ton cou. Tu m'as souris et tes doigts ont gentiment tiré ma joue, comme tu le fais si souvent.

<<J'ai une surprise pour toi...Ai-je soufflé près de ton oreille, un sourire malsain se dessinant sur mes lèvres.

-J'ai hâte d'en profité...>>

J'ai souris puis je t'ai guidé vers notre voiture, je n'ai pas lâché ta main de tout le trajet vers notre appartement. Le contacte avec ta peau me manquait horriblement, et j'en veux plus, encore plus.

Toujours plus.

Nous sommes rentré dans notre petit chez nous. Dès que tu as déposé tes valises sur le sol, j'ai sentit des mains sur mes hanches et mon corps s'est retrouvé contre le mur froid. Un gémissement est glissé entre mes lèvres suite à l'impacte d'une douleur agréable.

Je me suis laissé faire, trop excité pour stoper ton élan de luxure et de fantaisie sexuelles. De plus, ce n'est pas comme si je ne voulais pas me faire prendre. Je voulais, s'était presque devenu nécessaire de t'avoir en moi, essentiel à mon bien être. J'avais besoin que tu joues avec mes chaires, que tu détruises mon intérieur avec une violence qui t'es normal. Tu pourrais pas savoir à quel point cette violence m'avait manqé.

Tu m'as rapidement déshabillé et tu as jouer avec ma peau, la transformant une une peinture violette, une oeuvre violacé par des couleurs que tu a créé juste pour moi. Ça me plaisait, d'être la toile d'un artiste aussi doué que toi.

Après m'avoir décoré à ton goût, tu m'as poussé puis plaqué contre le sofa en faux cuire. Tu es rapidement monté par dessus moi et notre jeu de plaisir a commencé.

J'ai du supplier, beaucoup, je t'ai fais plaisir de mon mieux, j'adore la manière dont tu m'obliges. J'adores aussi le fait d'être une victime, la tienne, et la seule que tu auras jamais, car tu m'aimes non?

À un moment tu as caressé mes cheveux avant de chuchoter les mots qui annonçaient le début de mon plaisir, de mes cris et de ma jouissance; bon garçon.

Ça me plait, d'être ton bon garçon, de te rendre fier et de te faire plaisir. À chaque fois tu dis que je deviens meilleur et je voudrais l'être encore plus pour toi.

J'ai essayé de modéré mes cris, mais rien n'a marché. Tu as détruit ma voix et je m'en fichais. Tu pourrais me baisé des heures encore et j'en serais que plus heureux.

Ça a duré deux heures au moins, et ça aurais pu être plus long si je ne me serais pas endormie soud l'épuisement que tu m'avais causé.

Quand je me suis réveillé il était tard, notre invité va devoir attendre encore un peu pourtant.

~Psychopathe~ [Reno AU]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant