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Salem,

Sanaa

J'étais là avec les yeux grands ouverts, rivée sur la poignée, j'avais trop peur que quelqu'un vienne encore j'vous jure.

J'commence sérieusement à saturée je pense, mes larmes elles coulaient toute seule, j'avais mal au ventre, à la gorge, mais surtout à la tête.

Non j'étais vraiment pas bien, j'me sentais pas en sécurité du tout, cet homme là.. il ne veux pas mon bien. Et maintenant qu'il sait que je suis en vie.. j'ai peur de ce qu'il peut me faire.

Donc j'ai décidée de ne plus dormir, ou en tout cas pas tant que je serais seule dans cette chambre, je trouverais une solution pour qu'on me trouve une copine je sais pas, mais je ne veux plus être toute seule ici.

Mes pensées se sont très vite arrêter en voyant la poignée s'abaisser très lentement, mes larmes elles ont encore plus couler, je pense que je vais finir par faire un arrête cardiaque ici.

Puis à cette heure là, comment ils font pour encore passer les gens ? WAllah c'est pas normal, y'a pas des gardes où je sais pas quoi normalement ?

La porte c'est ouverte et juste après la lumière c'est allumé donc j'ai directement cachée mon visage à cause de l'éblouissement.

... : Sanaa ?!

En reconnaissant sa voix j'ai encore plus pleurer, j'étais contente que ce soit lui, juste parce que je sais que ce n'est pas l'autre du coup.

Sofiane : il essaye d'enlever mes mains qu'est-ce que t'a là ? Pourquoi tu pleure comme un bébé wsh ?

J'étais contente que se soit que lui oui, mais sa ne change rien au fait que j'avais peur, très peur.

Sofiane : Sanaa wsh, parle cousine y'a quoi

J'ai secouer la tête en essayant de me calmer, mais rien à faire, les larmes coulées toute seule.

Sofiane : attend j'éteins la lumière mais j'allume celle là ok ?

J'ai pas répondu, il a allumer la petite sur le meuble et il est parti éteindre la principal, qui éclairait beaucoup trop effectivement.

Sofiane : bon il enlève de force mes mains arrête ça

Moi : laisse moi...

Sofiane : me dit pas de te laisser, sans moi tu te pisserais dessus à l'heure actuelle

J'le regarde mal ce qui le fait exploser de rire, j'suis jamais prise au sérieux avec lui de toute façon.

Sofiane : peut être qu'un jour ton regard me fera peur, qui sait ?

Moi : bouge, t'es méchant

Sofiane : j'suis méchant moi ?

Moi : hum, bouuuuge

Sofiane : arrête de pleurer alors

Moi : mais tu sais même pas pourquoi je pleure !

NoorOù les histoires vivent. Découvrez maintenant