Chapitre 5: Une triste vérité

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Voilà un petit plan du train pour pas que vous soyez perdu, l'histoire reprend !

Voilà un petit plan du train pour pas que vous soyez perdu, l'histoire reprend !

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                        Cela fait 1h30 que l'on attend, à vrai dire je ne sais pas vraiment ce qu'on attend, les secours n'arriveront probablement jamais vu que le pays doit être ravagé à cette heure. Laure essaye de calmer les enfants qui se demandent ce qu'il se passe, beaucoup de personnes sont allées dans le wagon de devant pour voir les infectés, ils ne sont pas beau à voir, ils tapent sur la vitre comme des demeurés en espérant que la vitre casse, heureusement que celle-ci est solide.

                         Nous avons fermés la porte du wagon de derrière même si les personnes dedans essayent de communiquer avec nous pour savoir ce qu'il se passe, nous leur avons dit le stricte minimum et nous avons refusé de leurs ouvrirent, vaut mieux rester prudent. Gabriel,lui,panique grave, il a essayé d'appeler ses parents mais le réseau ne fonctionne plus. Je m'apprête à m'endormir mais je suis attiré par le caniche de la personne âgé qui commence a tirer sur sa laisse, il arrive à se libérer puis court vers le wagon de devant.

      - rattraper le ! dit la vielle dame qui vient de se rendre compte que son chien s'était libérer.

      - je m'en occupe.

                         C'était un grand garçon blond qui avait parler, il s'élança à la poursuite du caniche puis disparût à son tour. Quelques secondes plus tard on entendit un cris. Je me précipita pour voir ce qu'il se passait, une dame qui avait la cinquantaine avait l'animal dans les bras mais avait une plaie.

-Je me suis fait mordre par ce foutus clébard! dit-elle.

-Je suis vraiment désolée. dit la vielle dame qui nous avait rejoins. Je sais pas ce qu'il a mais il est assez agité ces derniers temps, encore désolé.

- C'est rien. répondit-elle.

                            Elle retourna s'asseoir au fond du wagon de devant, les autres passagers retournèrent s'asseoir à leur tour. Quelques minutes plus tard Gabriel se leva pour aller aux toilettes. Nous entendîmes un cris percant venant du wagon du devant, les passagers se levèrent et virent 5 personnes sauter sur les quelques passagers du wagon de devant.   Bientôt une foule de passagers apeurés bouscula Gabriel pour échapper à ces monstres.

-Gabriel ! criais-je

-Il faut verrouillé la porte. cria le blond

- Non, mon ami est toujours a l'intérieur je refuse de l'abandonner.

- On te demandes pas ton avis mon gars! cria un mec derrière moi qui s'avança pour fermer.

                            Je sauta sur cette homme pour l'empêcher de fermer mais il me poussa et continua son chemin, malheureusement c'était trop tard, les survivants du wagon du devant ainsi qui Gabriel ouvrirent la porte, les zombies qui n'était pas loin entrèrent à leur tour.

                            L'un de ces monstres sanguinaires sauta sur Laure et bientôt ses compagnon le suivirent et sautèrent sur les enfants qui étaient paralysés. Malgré l'horreur que j'étais entrain de voir l'adrénaline me surmonta et je commença à essayer de casser la vitre, Gabriel qui avait compris mon idée m'aida.

Autour de nous c'était le chaos, les corps sautèrent de partout et des cris stridant nous perçîmes les oreilles.

-Je crois pas qu'on va s'en sortir. Me dit Gabriel.

-Faut pas abandonner il faut juste de la force. Lui répondis-je.

                            La vitre commença à se fissurer, pendant ce temps, le blond et l'homme qui m'a poussé essaya d'ouvrir la porte du wagon de derrière mais les passagers bloqua et verrouilla la porte,je les comprends nous avions fait pareil à leur égard.

                            Le blond se fît mordre à la cheville et l'homme essaya de se défendre face à 3 zombies, je croisa le regard d'un vorace et il commença a courir vers nous, heureusement la vitre céda et la première à s'extirper  fût la vielle dame qui nous avez bousculés pour passer devant, je m'extirpa après la sénior, Gabriel allait passer mais le vorace l'attrapa par la jambe et le mordît. Je poussa un cris de désespoir, je vît Gabriel se faire bouffer par ces charognes, j'étais paralysé.

                           

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