Pandora

Chapitre 1: La fin

Chapitre 1 : La fin.

- " Mon frère est fou. . ."

Ce sont les derniers mots que prononça Quilla le jour de sa mort. Son frère la personne qu'elle avait cru la plus proche d'elle la trahissait. Pour le pouvoir. Pour l'immortalité.

Elle avait envie de fuir mais ce serait apporter la mort et le déshonneur a son peuple. Une malédiction divine s'abattrait sur son village. Alors qu'elle marchait sur ce chemin pavé, qui la conduirait a l'autel, elle repensa aux derniers jours qui s'étaient écoulé et qui l'avait conduit a ça. A ce moment précis. Ils n'étaient personnes ses parents et elle. Son frère était un prêtre, travaillant et vivant au temple. Elle se destinait au rôle de vierge guerrières mais n'en avait pas le titre. Elle passait la moitié de ses jours avec les Acalla, les vierges du soleil et épouses sacrées apprenant auprès d'elles. Le reste du temps elle chassait, apprenait a se battre et élevait ses oiseaux.

Quilla était une archère talentueuse et respecter. Son père prétendait qu'elle avait reçu la bénédiction de Quetzalcóatl, le dieu serpent avait envoyé un quetzal le jour de sa naissance se pencher sur ses linges. Ce secret n'était partager qu'entre les membres de la famille.

Son frère, lui, se dévouait a Viracocha, le dieu créateur. Il faisait preuve d'un certain fanatisme que ne partageait ni sa sœur ni le reste de sa famille.

Quilla restait presque toute la journée dans la volière qu'elle avait installer dans une caverne au delà du village. La grotte naturelle était pourvu d'un large puits qui offrait toute la lumière dont elle voudrait profiter. Les plantes grimpantes tapissait les roches depuis le puits et tombaient librement au milieu d'un bassin naturelle. Pandora aimait cet endroit. Dans des niches naturelles elle avait installer les aguilocho qui volaient librement dans la caverne. Elle était assise sur un rocher les observant. Quilla réfléchissait asa place dans le village. A son rôle parmi les Acalla. A la demande de fiançailles que son père avait reçu pour elle. A son avenir. Aux vœux qu'elle devrait bientôt prononcer si elle le décidait. Quilla était effrayée. Si effrayée de son incapacité a diriger sa vie. Lorsqu'elle était rentrée chez elle lorsque la nuit tombait, en courant devinant a peine dans la pénombre les obstacles qu'elle évita avec aisance.

La fête des moissons serait célébrée lorsque le soleil se coucherait derrière la grande pyramide. Et elle se devait d'être a l'heure. Car ce soir serait choisit le sacrifice. Quilla sauta de terrasse en terrasse jusqu'à la place central ou se trouvait l'autel dresser à la gloire des dieux. Les fleurs en guirlande décorait la place, les flambeaux brûlaient paisiblement. Elle rejoignit aussi discrète qu'une ombre sa famille. Son père lui adressa un regard soulager tandis que sa mère lui serra la main. Son frère se trouvait proche de l'autel portant une tenu claire et la peau de félin tacheté. Il se tenait droit et fière.

Tout le monde semblait euphorique et elle était désespéré. Tous portaient de belle tenu colorés alors qu'elle portait sa tenu de chasse. Un simple pantalon de toile brune et une chemise claire tacher de terre. Ses cheveux attacher en tresse lâche et a demi-défaite.

Le soleil descendait lentement derrière le grand temple et lorsque son dernier rayon s'éleva dans le ciel et frappa le cristal qui dominait la pyramide projetant un ultime rayon de lumière prismatique. Ce phénomène n'était jusqu'alors jamais apparu. Une rumeur monta dans la foule. Le rayon sembla obstinément figer sur elle. Elle voulu hurler de rage comme si sa vie n'était pas actuellement si difficile. Mais elle ne dit rien. La lune se fit belle en illuminant a son tour le village.

Le prêtre la regarda. Son père la regardait. Sa mère pleurait. Joie ou peur elle ne savait pas. Tout le monde avait les yeux fixer sur elle. Que la vie était mal faite. Le rayon avait disparu depuis longtemps avant que la vie reprennent.