Pandora

Chapitre 7

La reconstruction du village leur prit plusieurs semaine au cours dès quelles Pandora fut regarder comme une déesse et plus comme l'enfant qui avait vécu avec eux. Elle prit ne nombreuse décision pour le bien du village aidant comme elle le pouvait à l'organisation de leur défense.

Avec l'aide de Tuta le jaguar qu'elle considérait comme le prolongement de sa propre personne, elle plaça de nombreux piège dans la forêt. Sa plus grande joie au cours de ses semaines avaient été de redécouvrir le monde de ses yeux. Le monde lui semblait bien plus beau, plus lumineux que celui dont elle se souvenait. Comme si ces souvenirs avaient lentement effacer sa beauté.

Nia se remit difficilement de ses blessures, et malgré toute les prières qui furent adresser au dieux elle ne pu retrouver toute ses capacités. Elle boitait, devait se déplacer plus doucement. Pandora fut contrainte de voir la puissante guerrière s'étioler, devant rester pour préparer de nombreuse stratégie de défense. Elle veilla a passer le plus de temps possible avec Nia, qui lui apprenait tout ce qu'elle savait. 

Pandora apprit doucement a apprivoiser ses pouvoirs. Elle était terrifier par leur puissance. Et bien qu'Akela ait insisté pour qu'elle les utilise le plus souvent possible pour de petite action. Elle avait passé beaucoup de temps avec Wayra. Elle sentait que l'homme lui cachait quelque chose sans jamais savoir quoi. Son contrôle sur les émotions des autres l'effrayait. Elle l'utilisait principalement pour rendre la joie a ceux qui l'avait perdu, faisait disparaître la tristesse et les émotions négatives que ses proches ressentaient.  Le seul de ses pouvoirs qu'elle appréciait réellement était son contrôle sur les éléments. Elle pouvait provoquer la pluie pendant les périodes de sécheresses, ou la stopper. 

L'aspect plus sombre de son pouvoir était plus difficile pour elle a appréhender. La mort, la maladie, la famine étaient étrangement lier a ses états d'esprits. Répondant presque sans qu'elle ne s'en rende compte au moindre changement négatif de ses émotions. Akela lui avait un jour dit que si ils lui échappaient et causaient des ravages. Elle s'était vu contrainte d'accepté ses arguments . 

Sa vie s'écoulait au rythme des entraînements, des rires, de la joie. . .

Les jours devinrent des semaines, les semaines des mois et les mois des années. Ce ne fut qu'à l'inhumation d'Akela que Pandora décida qu'il était temps pour elle de partir.

Elle traversait la jungle avec facilité. Voyageant a travers les étendus pendant de nombreuses années. Elle dessinait sa propre carte, s'amusant de chacune de ses découvertes. Se dirigeant de mémoire jusqu'au village qu'elle avait quitter une centaine d'années plutôt.

Tuta la suivait véritable ombre parmi les ombres, avançant sans bruit dans les traces de sa maîtresse. Pandora savait que son compagnon n'était pas ordinaire sans avoir pour autant d'explication a fournir. Il aurait du quitter se monde il y a bien longtemps pourtant il était toujours aussi puissant que le jour où ils s'étaient rencontrer.

Elle avait mit deux semaines pour arriver au village des Warmi Qoyllor*, elle n'en mit qu'une seule pour retourner dans la cité qui l'avait vu naître, mourir et renaître. Elle pouvait voir les terrasses, elle pouvait entendre le rire des enfants. Elle se souvenait de ce que c'était de grandir ici. Les larmes qu'elle avait pourtant pensées tarie depuis longtemps menaçait de couler. Elle se trouvait au bas des marches. Elle avait peur. Elle était terrifier parce que cet endroit n'avait pas changer. Pourtant elle savait que cette cité ne serait pas celle qu'elle avait connu. Elle posa un pied sur la première marche releva la tête et posa son regard sur cette marche tout en haut qui semblait la narguer, la défier de la rejoindre. Un groupe d'enfant passa en courant près d'elle. Elle monta, lentement marche après marche les souvenirs l'assaillant de toute part. Akela lui avait dit avant de mourir qu'il lui faudrait venir faire le deuil de sa vie en revenant sur ses traces. Elle avait pensé que ce serait facile ; qu'elle était tellement différente que cela ne serait pas l'épreuve que cela se révélait être.