Albus, dans son bureau réfléchissait, les pieds croisés sur le bureau, il se demandait si sa famille oserait lui faire du mal. Il savait que son père le ferait, mais il ne savait pas si sa mère, Lily et James oseraient. Il ne le pensait pas, mais il se doutait qu'Harry leur retournerait le cerveau, et dans ce cas là, il n'aurait d'autre choix que de les éliminer. Il fallait donc les avoir à l'œil, il appela alors l'Augurey, qui se rendit immédiatement dans son bureau.
-Ah! te voilà Delphi, bien, je suppose que tu te demande pourquoi je t'ai appelé n'est ce pas?
-Oui, en effet Albus.
-Bien, j'aimerais que tu me rende un service...
-Tout ce que vous voulez.
-je veux que tu surveille ma famille jour et nuit sans les lâcher du regard. Je peux t'assigner cette tâche ?
-Bien évidemment, je ne te décevrais pas.
Elle sortit et Albus se demanda quels risques il encourait de rester ici et de ne pas retourner au ministère. Peut être serait-il en lieu sûr, ou peut être pas, mais à l'heure actuelle, il voulait juste détruire cette école pour la reconstruire de fond en comble, mais il fallait attendre...
-Monsieur Potter? le bruit venait de derrière la porte.
-Une voix familière...Mais qui est-ce... ENTREZ. ordonna Albus.
Le grand barbu entra.
-Hagrid...Te voilà.
-Oui Albus, je viens te voir car j'ai surpris une conversation qui risque de t'intéresser.
-je t'écoute Hag'.
-Ta famille à pour projet de tuer Scorpuis, et....
Un vide s'installa.
-Et?
-Et toi aussi ils veulent t'éliminer, c'est même leur priorité...
Albus ouvrit grand les yeux, il savait que harry voulait sa peau, mais les autres membres de sa famille... Il entra alors dans une colère sombre.
-Hagrid...Renforce moi la sécurité à cent pour cents, LE PREMIER QUI ENFREINT UNE REGLE QUELCONQUE, SERA EXECUTE SUR LE CHAMPS !
Hagrid baissa les yeux, il ne le montrait pas, mais il était terrifié, jamais il ne l'a vu dans un tel état
-Cet ordre débute à cette seconde ci Hag' !
-Bien Albus, je m'en occupe de suite.
Puis Hagrid sortit. Albus aussi sortit après Hagrid, il avait besoin de se défouler et de se venger... Mais, et si un stratagème pouvait l'aider? Il eut une idée exceptionnelle, pour évincer toute sa famille, sauf son père. Il alla donc chercher l'Augurey pour avoir son avis.
-Ah, tu es là Delphi, j'ai une idée pour évincer ma famille de l'école, or mis mon père.
-Ah, la ça m'intéresse. Que veux tu faire?
-Avec qui ma mère ne s'entend pas du tout et ne peux plus supporter au point de lui faire du mal?
-Euh, et bas, je pense que Hagrid serait idéal, ils étaient et sont toujours très amis avec lui, donc je pense que c'est le plus logique.
-Il est vrai, mais sa me fais chier, il aide bien, on s'enlève un atout, et on se tire une balle dans le pied...Tu pense vraiment que Hagrid est une bonne idée ?
-Oui c'est clair qu'il aide bien, mais bon, il a fait son temps. Je vois avec qui elle rigole bien et je te redis.
-Merci Delphi, tu peux disposer.
Albus cogitait, encore et encore, puis se rendit dans la grande salle, vide a ce moment là. Il cogita jusqu'à ce qu'un hibou lui laissa une lettre en passant par la fenêtre ouverte. Ce message était de Scorpius.
"Coucou chat, tout est sous contrôle, notre armée s'agrandit de jours en jours, et mieux que sa, nous pouvons même nous assigner une garde rapprochée, mais je ne sais pas si cela est vraiment nécessaire... Qu'en penses tu? En tout cas je suis partit du ministère pour te rejoindre, je te propose de lancer des combat d'arène dans la grande salle. Je ne sais pas toi, mis j'ai soif de sang et d'adrénaline. D'ailleurs tu sais pas quoi? Je suis sur la piste, avec certains fidèles, de la création d'une baguette qui... Disons pourra être surpuissante. Je t'en dis pas plus, je te rejoint sous peu. Ton scorp qui t'aime tant."
Très intéressant pensa Albus, La garde rapproché ne l'enchante pas vraiment, et il est hors de question qu'ils se trimbalent avec des pots de colle jour et nuit...Cependant, la création d'une baguette surpuissante l'intéresse au plus haut point, une baguette surpassant la baguette de Sureau...Très intéressant. Alors pour fêter ça, il envoya un message à toutes les maisons pour qu'ils se rendent immédiatement dans la grande salle.
Scorpius arrive une heure après, suivit de la maison Serpentard, puis les trois autres.
Scorpius s'installa aux côtés de son bien aimé, en attendant que les maisons se mettent en rang.
Une fois installé, la colère d'Alus était toujours aussi grande, prête à faire des ravages. Il se leva, se mis devant un élève de Poufsouffle et lui murmura ces mots:
-ne t'en fais pas, tu n'iras pas dans l'arène, tu n'iras jamais d'ailleurs.
le visage de l'élève s'illumina alors avant qu'Albus lui lance un Diffindo dans la gorge, le tuant à petit feu, le laissant agoniser par terre.
Une fois mort, il pris ses doigts, et les trempèrent dans la flaque de sang toute fraîche puis se mit le sang du jeune homme sur le visage, faisant deux traits sous la bouche et trois sur chaque joues finissant par mettre un point au milieu de son front, puis il se releva, et se réinstalla sur son trône aux côtés de son amant.
Tous dans la salle sont écœurés et terrifiés, même ceux de Serpentard.
-Bien, aujourd'hui, nouveau combats dans l'arène, cette fois ci, vingts personnes simultanément, c'est à dire cinq de chaque maison. Mais cette fois ci, petite nouveauté, VOUS déciderez de ceux qui méritent la mort, c'est donc à chaque maison de désigner ces cinq valeureux et piètres combattants. Nous vous laissons réfléchir, pendant ce temps, nous allons boire un café dans mon bureau. Si vous avez la moindre question, adressez vous à l'Augurey ou à Hagrid. Sur ce, à toute à l'heure, et puisse le sort vous être favorable.
Scorpius et Albus sortirent alors de la gran de salle, le sourire aux lèvre en oyant la tête de leur auditoire, qui sont choqué de ce qu'ils se doivent de faire pour survivre.
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Scorbus: C'est la guerre!
FanfictionDès leur cinquième rentré Scorpius et Albus se mirent en couple secrètement, se doutant que leurs parents les tueraient s'ils le savaient! De plus, Albus entra dans une espèce de guerre de force avec... Scorpius essai tant bien que mal de faire oubl...