Rain is Rain.... And Tears are Tears

Chapitre 1

Une petite foule d'enfants de onze ans dans des robes noirs.

Certains étaient impatients de découvrir le château que leurs parents leurs avaient décrit, d'autres étaient confus n'ayant que leurs imaginations, et les descriptions de livres pour anticiper cette année scolaire.

Dans toute cette foule se trouvait un garçon qui n'était ni impatient ni confus.

Pendant que les autres attendaient le retour de Mme McGonagall en trépignant sur leur pieds, lui étaient immobile.

Les yeux noirs fixés sur les portes en bois.

Ses cheveux mi long d'un brun foncé, presque noir, fixé dans une tresse française complexe s'arrêtant a la fin de son cou.

Sa mâchoire sans graisse enfantine était douce, presque féminine.

Ses pommettes étaient prononcées et hautes.

Son teint pâle faisant ressortir ses yeux et ses cheveux, donnant une sombre lumière.

En somme, il ressemblait plus à un adolescent qu'à un enfant de onze ans.

Sa robe était de premier choix et net, sans imperfections.

Et enfin aucune émotions ne sortait de lui.

Il n'avait pas un visage stoïque, au contraire il était ouvert, dans l'attente.

Lorsqu'une troupe de fantômes traversa le mur, calmant les rumeurs sur « l'épreuve » qu'ils allaient passer, il inclina la tête en signe de reconnaissance et chaque fantôme refléta son geste, devenant sérieux un temps avant de continuer à effrayer les autres enfants.

Un personnage mystérieux qui sort d'une foule d'innocent.

Un personnage sans émotions d'apparence.

Un personnage que nombres redoutaient d'avoir rencontré.

—

Freak était perdu.

Depuis que ce géant était entré chez oncle Vernon et tante Pétunia, tous ceux qu'il croisait l'appelait Harry ou Mr.Potter.

Comme si il avait un prénom.

Dans le train deux autres personnes étaient entrées et avaient essayé de lui parler.

Mais Freak n'a pas répondu.

Freak n'avait pas le droit de parler.

Oncle Vernon avait dit à Freak de ne pas parler.

Et Freak devait obéir à oncle Vernon.

Alors Freak n'a pas parlé.

Les deux autres enfants avaient parus en colère et agacé, ils l'avait insulté et Freak c'était sentit rassuré.

Freak ne méritait pas la gentillesse.

Freak méritait les insultes.

Et maintenant Freak était seul.

Mais ce n'était pas grave, Freak avait l'habitude d'être seul.

Seulement Freak était stressé.

Il savait que bientôt il devrait s'asseoir sur ce tabouret.

Mais Freak n'avait pas le droit de s'asseoir.

Surtout pas sur un tabouret.

Alors malgré toute sa volonté, Freak était en détresse.