Chapitre 5: Nuit Mouvementé

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Je sort du bureaux et marche d'un pas de plus en plus rapide dans les couloirs. Je laisse mes jambes me guider dans les couloirs, tournant à des croisement ou montant des escaliers parfois inconnus. Pensant à tout ce qu'on m'avait révélé.

Je ne peux pas supporter...
C'est trop dur pour moi...
Je ne veux plus savoir..!
Je veux repèrdre ma mémoire !
Je ne...
Je ne veux plus...
Je ne veux plus souffrir.

Je rouvre mes yeux au préalablement fermer, et constate que je suis arrivé dans une pièce, à l'écart des dortoirs et des grandes salles communes. Elle n'est pas très grande, est constituée de deux fauteuils, d'un piano et d'un tabouret accordé à ce dernier. Je me laisse glisser contre un mur et ne retiens plus mes pleurs, qui perlent à présent sur mes joues. Je rapproche mes genoux de ma poitrine, les entoure de mes bras tremblant et y installe sur eux, ma tête ruisselante de larmes.

Cela fait quelques heures que je suis comme ça, et je me désside enfin à relever ma tête. Mon regard se pose sur le piano, et une envie irrésistibles me pousse à en jouer. Je m'installe sur le petit tabouret et laisse mes mains danser sur les touches, faisant libérer de douces notes à l'instrument. Ma voix ne tarde pas à les regoindre, formant un ensemble mélodieux.

La chanson est fini et je me sens... Plus... Un peut plus légère. J'ai l'impression d'avoir exprimé se que je ressent au plus profond de moi dans cette chanson. Mais... Mais je sens aussi que tout au fond de moi... Tout au fond de moi, la douleur n'est pas parti.
Bon... Il faut que je dorme...

Je me lève et me retourne pour partire, quand, face à la porte, je vois Livaï me regarder. Je détourne le regard, comprenant qu'il a tout écouté et que, étant concentré sur ma musique, je ne l'avais pas entendu arriver. Ne voulant pas laisser ma vrais nature apparaître plus longtemps, je repose mon regard dans le sein et reprend mon expression sans émotion, celle que j'ai le plus souvent. Je sens un étrange frissons me parcoure l'échine, il est étrange, mais cependant pas désagréable. Je remarque que ses yeux glacial ne sont pas loin des mien car, à par de la colère les rendant dur et une pointe de bonté qui n'est perceptible que pas très peu de personnes, ils ne possèdent presque pas d'émotion.
Je me fait réveiller par le son de sa voix, redevenu dur comme à son habitude.

Lavaï: Oï... Quand à tu pu apprendre cette chanson ?
Sachie: Et bien... Je ne sais pas... Elle m'est venue naturellement.
Lavaï: En tout cas, elle est belle... Bon vas te coucher, c'est bientôt l'heure du couvre feu.

À peine je commence à répondre, qu'il est déjà au fond du couloir. J'ai juste le temps d'entendre un petit "tch" s'échapper de ses lévres avant de le voir disparaître.
Je part de suite en direction de ma chambre pour prendre des affaires de rechange, et me dirige aux douches pour m'en prendre une, encore une fois, seul.
Je me couche ensuite, après avoir avalé mes pilules pour dormir. C'est étrange car... Je met bien 20 minutes à m'endormir. J'en parlerais à Hanji demain...

                                                                  

Je me réveille dans ma chambre ou plutôt, je commence à voir car mes yeux étaient déjà ouverts. Petit à petit, mes sens revienne. Je peux à présent sentir quelques choses me bloquer. Mes oreilles bourdonne, et je me rends soudainement compte que ce n'est t'autre que Livaï qui me mainten sur ce qui semble être le sol. Je ne comprends pas ce qui se passe. Le bourdonnement s'estompe. Je commence à bouger, quand soudainement, Livaï me plaque encore plus fort sur le sol, laissant passer entre mes dents, une plainte de douleur. Il faut dire qu'il n'y vas pas de main morte.

Sachie: Li-Livaï, l-lâche moi, tu m'étouffe !

Il se sépare de moi, me laisse reprendre mon souffle en m'observant, puis se léve et parle à l'intention d'Hanji:

Livaï: C'est bon, elle a repris ces esprits.

Toujours dans la confusion, je me redresse et aperçois mes camarades de chambre, aglutiné dans un coin, regardant avec effroi dans ma direction. Je ne comprends pas tout de suite que ces regards me sont destinés. J'ai à peine le temps d'assimiler se qu'il vient de se passer, que je suis déjà traînée dans les couloirs par Hanji, elle me posant des questions et moi ne sachant quoi répondre. Une fois arrivé à l'infirmerie, elle me pose une question au-quel je peux répondre.

Hanji: Mais dit moi, te souviens-tu de ce qu'il c'est passé ?

Je lui répond négativement d'un signe de tête, lui montrant qu'elle en sait plus que moi. Elle m'examine puis sort de la pièce, me laissant avec mes questions. Elle m'adresse cependant ces quelques mots "attend moi ici".
Quelles que minutes plus tard, elle rerentra dans la salle, accompagnée de Livaï.

Hanji: Bon. Lui, il sera plus à même de te dire ce qu'il c'est passé.

Elle sort de suite, sans attendre son reste.

Livaï: Pendant que je parle, tu ne me coupe jamais la parole. C'est clair ?

Il a parlé d'un ton dur. Je réponds d'un auchement de tête, prouvant mon mutisme.

Livaï: Bon. Tout commença dans ta chambre. Tu as commencé à t'agiter dans ton sommeil et à pousser des cris de peur. L'une de tes camarades a déssidé d'aller chercher de l'aide et m'a prévenu de ton état en me croisant dans les couloirs. Je suis partit en direction des ta chambre et lors que je suis arrivé, tu était tombé sur le sol, les yeux écarquillés, pleurant et criant de peur et de douleur. Tu libérais parfois des crie de plaintes et de détresse. J'ai essayé de te bloquer mais tu a commencé a êtres de plus en plus violente. T'es yeux bougeait dans ton les sens et tes coups étaient devenu aussi fort que ceux de l'entraînement. Je n'ai eu d'autres choix que de te plaquer le plus fermement possible sur le sol, en attendant que tu reprennent tes esprits. Tu t'es agité et à crier de plus en plus ford, puis soudainement, tu as arrêté de bouger. C'est à se moment que tu a repris connaissance. La suite, tu la sais déjà.

A peine eut-il fini, qu'il me laissa seul, avec ces révélation dans ma tête.

                                                                                                                                            

Message de l'auteur.

J'ai décidé qu'à présent, je parlerai à mes lecteurs! Je ne l'ai pas fait avant, car je ne savais pas trop comment m'y prendre pour ma première histoire. Je suis désolé si dans la présentation du texte, ou autre chose, je ne suis pas très bonne... N'hésitez donc pas à me dire si vous voyez des choses qui pourraient être amélioré, ou même si vous voyez des fautes. Ne vous inquiétez pas, je ne le prendrai pas mal.

D'ailleurs, je tiens à m'excuser pour deux choses,
1: J'ai mit beaucoup de temps à fair paraître mes chapitres. Mais il faut dire que j'ai du mal à me lancer...
2: Je pense continuer mon récit au passé, car le présent me bloque pour écrire. Je rappellerai se changement de conjugaison au prochain chapitre. Je tiens donc à m'excuser pour la gêne occasionnée.

Sur ce, j'espère que ce chapitre vous aura plus. J'attends vos retours avec impatience !

Regard sans âme (Fini)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant