Chapitre 8

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Journal de Louis :

«... Nous avons quitté la Hongrie pour le port Southampton à 12h15. Le Titanic est parti. J'écris en ce moment dans notre suite. La peinture est fraîche, la porcelaine n'a jamais était utilisé, personne n'a encore dormi dans les draps. Je me sens bien...

Augustin est un peu stressé pour notre retour mais comme l'a dis monsieur Auer si nos parents nous aiment ils nous accepterons. Cindy-Antoinette et nourrice l'ont bien fait alors pourquoi pas eux ?...

Je laisserais jamais personne nous détruire. Je sais que ce monde nous réserve des surprises et qu'il est loin de s'arrêter. Je veux juste trouver ma place parmi d'autres et vivre ...

Si nos parents refusent de nous accepter je partirais jusqu'au bout du monde avec lui. J'irais parcourir chaque endroit de la planète avec lui ... »

'TOC TOC TOC'

Lorsque je rentre Louis est encore en train d'écrire. Je m'avance vers lui, l'entoure de mes bras et j'aperçois la dernière ligne qu'il a écrite.

Chuchotant dans son oreille. « J'irai n'importe où avec toi. »

~

11 avril 1912 :

Une fois Cherbourg et Queenstown passé nous voilà capte droit vers New York.

Pour le déjeuner Louis à revu son oncle tel que John Jacob Astor et son épouse depuis peu Madeleine.

« Je suis si heureux de te revoir Louis. Cela fait si longtemps !  En lui serrant la main.

Oncle John ! cela fait si longtemps. Tout en lui souriant. Voici Augustin Hudson.

Un Hudson sur le Titanic !  En lui serrant la main. Votre père à fait un énorme travail ! Vous devez être fier de lui ?

Les yeux grands ouverts. Oui Beaucoup !

Tous les deux vous créez de nouvelles choses ! Félicitation. De vrais hommes. Dit-il fièrement.

C'est très gentil Oncle John ! Merci. Tout en lui souriant. Avec Augustin nous sommes vraiment très fiers de notre travail accompli. Vraiment.

Vous méritez amplement. Nous remerciant encore. Je dois vous quittez une table m'attend.

C'était avec plaisir ! Bonne soirée.

Bonne soirée.

Merci.

Lorsqu'il est parti je me retourne vers lui. Il a l'air gentil... Mais dit donc il est pire que mon père.

Augustin...En râlant. Mais tu n'as pas tort... John parle beaucoup d'argent étant très riche... C'est dommage... Allons à notre table. »

~

12 avril 1912 :

Sur le RMS aujourd'hui nous avons été vus par plusieurs personnes. Mais peu importe. Alors pour nous effacer sans rester enfermé nous avons était au côté de la 3e classe.

Cela ne nous a pas empêches de passé une bonne journée.

Louis s'arrête de marcher pour se rapprocher du bort. « Tus ais... Dès fois je me demande comment serait ma vie si mes parents n'avaient pas eu cet héritage de génération en génération... Si personne de ma famille n'aurait trouvé ces trésors...

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