Grande Retrouvaille

Chapitre 4 :

J'ai passé le reste de la journée avec Nona. Nous avons parlé de ma matinée avec Maxime. J'étais tellement euphorique que je partais dans tous les sens. Nona, me regardait tendrement avec un grand sourire.
Cette femme apportait la chaleur et la convivialité. C'était tellement agréable de parler avec elle.

Pendant plusieurs jours Nona me laisse sortir en douce pour rejoindre Maxime. Tous les deux, nous parlons de tout et de rien à notre cabane. La fameuse cabane où nous passions tout notre temps et où nous ramenions notre butin.
Maxime m'avait même réinitialisé au vol sur la place. Et on peut dire que je n'ai pas perdu la main.
Je sortais souvent le matin où tard le soir. Mais aujourd'hui j'ai toute la journée.
Ma mère et son mari son souvent absent en ce moment et aujourd'hui ils partent pour la journée.

Je rejoins Maxime qui m'attend devant la porte. Je lui ai demandé de mettre un sweat à capuche pour ne que les voisins jouent aux commères.
Je sort avec ma capuche également et nous partons en courant dans les rues.
On aurait dit des enfants qui se dépêchaient de rentrer pour prendre leur goûter.

Le début de la journée ce passe sur la place, toujours bondé de monde. On y fait notre petite affaire...
Comme toujours personne ne voit rien et a la fin de la matinée, nos sacs ne sont pas mal remplis.

Maxime m'emmène voir sa mère. Je ne l'ai pas vue depuis des années. Je me souviens encore de ces bons petits plats.
Dans mes souvenirs, c'était une femme vraiment douce et gentille. Toujours prête à aider les autres. Et c'est d'ailleurs ce qu'elle a transmis à Maxime.

Quand je pousse la porte, une odeur délicieuse embaume mes narines. Quand sa mère le vit, elle me pris dans les bras en sottant de joie. 

Maxime : Du calme maman si tu veux qu'elle mange tes lasagnes tu devrais éviter de la tuer.

Elle lâche et me fit un grand sourire avant de retourner en cuisine. Je suis contente qu'elle cuisine des lasagnes par ce que cest mon plat préféré. Je ne sais pas si elle l'a fait par ce qu'elle s'en souvenait ou si c'était juste comme ça.

Quoi qu'il en soit le repas était délicieux, comme d'habitude. Je le suis même resservi une deuxième assiette, même si la première était énorme.
Après le repas nous feson la vaisselle et quelques rangement par si par là. Puis sa maman sort de vieilles photos d'une petite boîte. Les premiers sont de vieux clichés de Maxime et moi. Puis il ne restai que lui, j'avais ratée tellement de chose. Une vague d'émotions commence à monter comme les larmes. Maxime m'emmène dehors un moment et me prend dans ces bras. Je n'est pas besoin de parler, il le sait aussi et on reste comme ça pendant plusieurs minutes...