Grande Retrouvaille

Chapitre 6 :

Je n'ai pas dormi de la nuit. Je n'ai pas arrêté de penser aux conneries de ma mère et son mari. Comme si j'allais me marier avec un gars qu'ils allaient me choisir. Je pensais aussi à Maxime qui avait été particulièrement proche de moi hier.

En me levant de mon lit, je vis quelque chose qui dépassait de la poche du sweat que je portais hier. Je regarde alors, et je vois un... téléphone ?!

Je l'allume, et je vois un numéro déjà enregistré. C'est celui de Maxime. Un immense sourire ce dessine dur mon visage. Mais alors que le son est un font, des messages commencent à sonné. Et comme de par hasard je n'arrive pas à l'enlever.

Oufffff, personne na l'air d'avoir entendu, en même temps la maison est grande.
Je regarde les messages de Maxime :

-Maxime :
Cc Louna jsp quand tu vera les messages mais je voulais te faire un cadeau
C pas en tel dernier cri mais c tt ce que je peux t'offrir 😉

Il est vraiment adorable. Même si il fait des fautes d'orthographe son message est agréable à lire.
Je lui répond un merci et je lui raconte en même temps le nouveau délir de ma mère et de Jean.

Je m'habille vite et fais et descend prendre mon petit-déjeuner. Comme aujourd'hui nous sommes lundi, je déjeune avec ma mère et Jean.
Quand j'arrive à la table, les deux amoureux sont déjà en train de boire leur café.

Moi : Bonjour !

Ma mère et Jean : Bonjour !

Je m'assois le plus loin possible d'eux. L'ambiance est pesante et gênante. J'attendais de voir le quels des deux aller me reparler de la soirée....

Ma mère : Après le petit-déjeuner nous monterons à mon dresing. Pour ra robe de ce soir.

Et bingo c'est ma mère qui relance. Mon dieu qu'elle plaît!

Moi : De toute façon je n'ai pas vraiment le choix !

Jean : Ne parle pas comme ça à ta mère !

Moi : Hooooo excusé moi mon cher MONsieur de ne pas sauter de joie, alors que vous décidez de toute ma putain de vie !!

Je me lève et fait des grands gestes.

Ma mère : Sa suffit maintenant, je suis ta mère et je veux pour toi un avenir digne de se nom.

Moi : Mais maman qu'elle avenir ? L'avenir d'être malheureuse avec un homme dont je ne suis pas amoureuse ? L'avenir d'être une petite bourge comme toi qui a oublié d'où elle venait ? Non merci !

Je pars et je monte dans ma chambre. Derrière moi, les cris de ma mère et de son phoque. Je ne préfère plus leur répondre.
Je claque ma porte et quelques secondes plus tard c'est Nona qui entre...