Chapitre 3 :

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Il est neuf heures passé quand je marchais dans les rues. Des vents froids me percutaient le visage à chaque pats que je fessais.
Tout était exactement comme dans mon souvenir, les grands magasins de place où tout les riches se montraient.
Et en une rue, le paysage change radicalement. Nous passons des belles vitrines aux quartier dit mal famé. Celon les gens c'est un quartier de voyous et de criminels. Mais beaucoup de gens bien y vivent.

J'arrive dans une petite rue sombre quand on me bouscule.

Moi : Ho pardon je suis vraiment désolé.

Un jeune garçon de mon âge se tenait alors devant moi. Un brun aux yeux marron. Il était plutôt grand mais pas très épais. Il avait des bleu et des pansements partout et ces vêtements étaient troués. Ces grands yeux me fixaient un moment comme pour me dévisager. Son visage ne m'était pas inconnue et apparemment il était du même avis.

Lui : Heu s'cuse j'ai pas fait exprès.

Moi : Nan c'est rien.

Lui : Tu m'dis quelque chose, tu cherche quelqu'un ?

Moi : Heuuu oui je cherche Maxime....

Lui : Bah il se pourrait que ce soit moi.

Moi : Maxime ?? C'est toi ?

Il me fit un grand sourire.

Maxime : Ahah, oui si je te le dis.

Il me regarde sans vraiment comprendre pourquoi un grand sourire apparaît sur mon visage.
Mais il peut exister plusieurs Maxime, malgré que son visage me semble familier je préfère être sûr...

Moi : Tu... tu pourrais m'emmener à la cabane ?

Ces beau yeux marron s'agrandissent d'imcompréhention et de surprise.

Maxime : La... la cabane... Comment tu ...?

Moi : C'est moi. C'est Louna.

Il mit quelques secondes à comprendre avec de me prendre dans ces bras. J'étais écrasée de plus en plus fort contre son torse, mais je n'ai jamais été aussi heureuse d'être dans les bras de quelqu'un.

Maxime : Ooooooh Louna, j'pensais ne plus jamais te revoir.

Moi : Aaaaaah moi aussi je suis contente de te revoir mais la je ne peux plus respirer.

Il me relâche d'un coup et me regarde tendrement.
Il y a un moment de silence pesant alors que nous nous regardions de haut en bas.

Nous marchions dans les rues nous rappelant nos vieux souvenirs. Nous parlions aussi de se qu'on devenait. Il vivait toujours avec sa mère et rien n'avait vraiment changé enfaîte. Je lui raconter ma mère et cette endroit sordide qu'elle appelait notre maison. Nous avons également parlé de mon père, ce que je n'avais pas fait depuis des lustres.
Pour terminer notre petite marche à travers les rues de la ville, nous sommes partis sur la place.
Plein de souvenirs la bah aussi. Plus petit, nous faisions les robin des bois. Nous nous faufilions entre les passants pour attraper les porte feuille et tout ce qui était à notre portée.

L'heure passait extrêmement vite au côté de Maxime. Je ne voulais pas le quitter mais je n'avais pas vraiment le choix. Maxime ma accompagné jusqu'à la maison où m'attendait Nona..

Grande RetrouvailleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant