Chapitre 7 :

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La journée est passé vite. Je n'ai même pas eu le temps de répondre à Maxime. Quand je suis monté ce matin, Maxime m'avait écrit un message. Mais j'ai parlé avec Nona de la situation. Et ma mère et finalement monté pour m'emmener voir le tailleur pour ma robe. Nous y avons passé le reste de la matinée. J'ai cru que ça ne s'arrêterait jamais. Je n'ai même pas eu le temps de manger le midi. Ma chère mère me fit le programme de l'après-midi : je devais prendre une douche puis on s'occuperait de ma coiffure puis du maquillage et enfin je devrais enfiler cette robe.
J'essayais de rallonger ma douche autant que je le pouvais. Je détestais les coiffures élaborées et les maquillages qui recouvraient mon visage de 30 centimetres. La dernière fois que j'ai du endurer ça, c'était pour le mariage de ma mère.

J'ai été sortie de la douche de force.
Et comme je m'y attendais la coiffure dur des heures. La coiffeuse me tire les cheveux dans tout les sens pour au final me faire un chignon énorme sur la tête.
Puis viens l'heure du maquillage. Une première couche puis une deuxième et ect. En me regardant dans le miroir je ne me reconnaissais plus... j'ai même essayé de me démaquiller mais ma mère m'avait pris les cotons et le démaquillant des mains. Elle me fit un serment de deux minutes qui m'avait paru des heures. J'aurais échangé volontiers tout ça pour passer la soirée avec Maxime et ça mère.
J'ai dû enfiler la fameuse robe rose pâle. C'est d'ailleurs la couleur que je déteste le plus. La robe était en bustier et m'arrivait jusqu'aux genoux. Et enfin la touche finale... des talons rose pâle également. Le genre de talon qui me rend malade. Pas des compensées comme ceux qui m'arrive de metres mes des talon aussi fin que mes ongles. Ongles qu'une femme ma colorié avec une couleur aussi immonde que celle de ma robe. La même enfaîte...

Je descends les escaliers en essayant de ne pas tomber avec ces chaussures. Je vous jure que c'est HYPER compliqué de marcher avec ça.

La soirée commence et les "invités" sont pratiquement tous arrivés. La plus part des garçons sont venues avec leur parents. Comme s'il il apportait la preuve qu'ils sont de bonne famille, une carte d'identité quoi...
Un à un, ils viennent ce présenter à moi. Ils me disent leur nom et prénom et leur famille...

Grande RetrouvailleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant