Phoenix

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Phoenix, ville a la chaleur et au soleil éblouissant, embellissant la ville d'une lueur toute l'année. Ses terrains de golf a perte de vue, un moment de détente adoré par les plus riches, ses sources thermales haut de gammes attirant les plus fortunés et les touristes. Ses immenses immeubles ou s'entassent les habitants qui payent des fortunes pour vivre dans cette ville au milles promesses de réussite. Ses bâtiments de grande société connu dans le monde entier au chiffre d'affaire a en faire pâlir certain millionnaire...

Mais Phoenix c'est aussi la nuit la ville de lumière, boite de nuit qui éclairent les rues jusqu'à tard dans la nuit, ses lots de belles filles fortunés qui exhibent leurs attribut et leurs fortunes sur les pistes. Drogue et prostitution sont monnaie courante dans les rues les plus défavorisé, contrairement dans les rues dites plus prestigieuses ou les escortes girls accompagnent les plus riche en manque de compagnie.

C'est dans cette ville qu'un jet privé en provenance de France atterrissait sur le tarmac de l'aéroport Phoenix-Sky Harbor. Un avion noir surplombé d'une couronne dorée, armorie de la famille Ackerman. 

Une Aston Martin DBS Superleggera noire attendait patiemment la descente du prestigieux personnage se trouvant a l'intérieur de l'habitacle qui ne se fit pas attendre par le chauffeur habillait d'un costume noir a la cravate dorée au couleur de la famille Ackerman. L'homme d'une trentaine d'année vêtu d'une chemise blanche, pantalon noir, revêtu ses lunettes de soleil aveuglé par le soleil éblouissant de Pheonix descendait les marches d'une démarche élégante. Ses cheveux coupé en undercut tombait légèrement sur son visage, son visage fin légèrement pale faisait pâlir la plupart des hommes, attirant les envieux par sa classe et sa fortune. 

Les moteurs du jet laissait échapper un faible son alors qu'il se rapprochait du chauffeur qui lui ouvrir la portière arrière laissant entrer l'homme qui s'installa sans dire un mot. Il s'installa a l'intérieur croisant ses jambes alors que le chauffeur s'installait a son tour.

- Bon retour parmi nous Monsieur

- Merci Victor

La voiture quittait tranquillement l'aéroport, laissant son moteur ronronner sur le tarmac.

- Vous avez fait bon voyage Monsieur?

- Très bon, certes un peu long.

- Il est vrai que la France est un pays très éloigné. 10 heure si je ne me trompe pas

- Plutôt 12 heures mon cher Victor. Je t'avoue que le sol m'avait manqué.

- Je le conçois tout a fait Monsieur. Voulez vous que je vous dépose chez vous ou directement au siège?

- Amène moi directement a mon père, que nous réglions cette affaire au plus vite. 

- Bien Monsieur.

Le chauffeur s'engagea sur la voix rapide menant au grande multinationale, les immeubles des habitations laissant place au bureau vitreux qui s'étendaient a perte de vue. Mais un immeuble sortait du lot, un immeuble au vitre noire tranché dans le paysage, le plus imposant et le plus splendide. Un gigantesque "A" dorée surplombé la rue laissant la plupart des touristes pantois devant cette merveille de l'architecture. Mais pour l'homme qui était tranquillement entrain de ce dirigé vers ce lieu, il ne lui inspirait qu'une lassitude profonde. Son regard posé sur le chez d'oeuvre de sa famille, il ne supportait pas voir cette démonstration de luxe. 

La voiture s'arrêta devant les portes protégé par deux immenses hommes au crane légèrement dégarnis, a la musculature impressionnante, portant chacun un système d'oreillette. 

Le jeune homme sorti du véhicule face au deux hommes qui se décalèrent pour le laisser pénétrer, sa démarche sur alors que les portes s'ouvrait sur lui.

Le hall resplendissait de luxe, un luxe exagérait pour l'arrivant. Le tapis rouge au sol menait directement a l'accueil noir au marbre de la même couleur. Plusieurs fauteuils étaient dispersés de part de d'autre de la pièce, également rouge. Il n'osait même pas imaginer le prix de ceux ci. Un seul d'entre eux devait coûter au moins un mois de salaire d'un des employés. Les lieux avaient énormément changé en 10 ans, date a laquelle il avait quitté le pays pour rejoindre le pays du vin. 

Arrivait devant les portes de l'ascenseur qui menait au bureau supérieur, la femme a l'accueil se leva pour le saluer. Il n'avait pas besoin de se présenter, certes il avait quitté le pays depuis plusieurs années, il n'avait pas changé physiquement, certes une légère amélioration physique était de plus mais il avait toujours ce visage élégant et sa coupe de cheveux emblématique qui contrarié le maître des lieux. 

Il lui répondit d'un hochement de tête avant de s'engouffrer dans l'ascenseur au paroi de miroir. Appuyant sur le dernier étage, une légère musique d'ambiance pour patienté, il se demandait pourquoi son père avait décidé de demander sa présence après plus de 10 ans absence. Certes 10 ans c'était une longue période mais il n'avait jamais ressenti le manque de cet homme. 

L'ascenseur s'arrêta finalement, s'ouvrant sur un nouveau salon au même couleur que le hall alors qu'une jeune femme s'approchait de lui. La femme, les cheveux noir comme l'ébène coupait en carré plongeant s'arrêta a la vue de l'homme se décalant légèrement, se courbant légèrement, sa main posait sur la poitrine. Le nouveau venu s'arrêta légèrement devant elle, la toisant du regard alors qu'il rencontrait une nouvelle tête. Le personnel avait changé depuis toute ces années, elle semblait plus jeune que lui, peut être 25 ans mais elle ne semblait pas manquer de ressource. Mais ce qui l'attira dotant plus, c'était la façon de le saluer. Il avait eu des hochements de tête en salutation, des poignées de main, des Monsieur mais jamais on le l'avait salué de cette manière, comme si il était un prince. 

- Mon fils! Je ne te pensais pas te voir aussi tôt. 

Il fut sorti de son observation alors qu'il regardait l'homme se rapprocher de lui, élégamment vêtu d'un costume trois pièce dans les même ton que son fils, les cheveux plaqué en arrière, une légère barde de 3 jours couvrait son visage, montrant le dure travail qu'il avait du effectuer en ce laps de temps.

- Bonjour père

Serrant la main de son père, il gardait un visage neutre, ne montrant pas ses interrogations qu'il gardait au font de lui, notamment sa présence dans ces lieux

- Je vois que tu as fait la rencontre de Mikasa

La sus nommé releva son regard, plaçant ses mains derrière son dos dans une position d'attente, les jambes légèrement écartés. 

- Effectivement

- Je l'ai recruté lors d'un voyage au Japon il y a de ça quelques années. Elle surveille mes moindres fait et geste.

L'homme comprenait mieux le salut de la jeune femme, et maintenant qu'il l'observait plus attentivement, ses yeux ne trompait pas, son regard légèrement bridé montré son appartement a la population asiatique. 

- C'est une fantastique garde du corps. A ta place je ne m'y frotterai pas.

Un léger rictus s'afficha sur le visage du fils alors qu'il regardait ce petit bout de femme qui il devait l'admettre était légèrement plus grande que lui et qui devait cacher une important musculature sous son pantalon noir et sa chemise blanche.

- Mais cessons de bavarder, nous avons des choses a régler mon fils. 

Le jeune homme hocha légèrement la tête vers la jeune femme qui n'avait pas changé sa posture avant de rejoindre son père. Il avait en effet des affaires a régler. 

ÉmeraudeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant