[TERMINÉ] Le Fermier qui porte une Épée (Tome 1)

Chapitre 7

Il ne restait plus que dix minutes avant le début des combats d'arènes. Fûtaro était en sueur. Il ferma ses yeux et concentrait son Hi pour voir s'il-y-arrivait encore. En faisant ça, il senti plusieurs grandes puissances. Déjà, il sentait Pedro. Quelle force qui émanait de lui. Il-y-avait aussi Ismaël. Le jeune homme avec son sourire. Personne ne s'attendait à ce qu'il soit fort celui-là. Après il-y-avait aussi le chauve qui était fort. Finalement ce n'était pas qu'un grand parleur. Son Hi était énorme ! Et pour finir, un mec avec des lunettes, dégageait un Hi aussi étrangement puissant.

Fûtaro était content, il savait encore utiliser son Hi ! Et en plus de ça, il arrivait à détecter les niveaux de puissances d'autrui. « Va falloir que j'arrive à utiliser mon Hi pendant le combat. » pensa-t-il. Pedro arrivait par derrière et parla avec Fûtaro.

- T'entends ?

- (Fûtaro sursauta) E-Entend quoi ?

- La foule, p'tit. Va falloir les épater.

Tous les participants se mettait devant les grosses barres de ferres qui servait de porte. Ils attendaient encore huit minutes avant le début des combats. La peur monta chez tous les participants. La foule qui crie était impressionnante. Dans les tribunes, il-y-avait le roi Vinz. À côté de lui il-y-avait des femmes très belles. Assis-à côté du roi il-y-avait des hommes haut-placé. Ça se voyait seulement en regardant leurs vêtements. Le roi se leva d'une manière « élégante » (à sa manière bien sûr) et voulait commencer son discours.

« Cher publique ! » dis-t-il avec un sourire sournois et des miettes de pain partout sur le visage.

Le roi voulait continuer de parler mais le publique faisait tellement de bruit qu'il n'arrivait pas à se faire entendre. Le publique cria : « Ouvrez les barreaux ! » « Montrez-nous les monstres ! ».

Toutes ces paroles entraient dans les oreilles de Fûtaro. « On veut du sang ! », et d'autres phrases horribles. C'était claire, les spectateurs ont payé leurs places pour voir des morts. Ils ne sont clairement pas là pour voir seulement les monstres se faire tuer. Contrairement à Fûtaro, le roi Vinz aimait ces paroles. Il ria fort et demandait en souriant aux spectateurs de se calmer. Peu à peu, les spectateurs se calmait et le silence regagna l'arène.

« Merci d'être là chers spectateurs. Aujourd'hui nous fêtons le 115eme combat d'arène ! J'espère que vous allez vous amuser en regardant le bain de sang qui arrive. » dit-il en rigolant. « Ouvrez les barreaux ! Nous allons accueillir les 79 participants ! »

Les barreaux de fers s'ouvraient doucement. Le bruit que cela faisait étaient insupportable. Après toutes ces heures, les participants voyaient enfin la lumière du soleil. Une fois les barreaux totalement ouverts, ils sortaient de la pièce pour rentrer dans l'arène. Une fois les participants dans l'arène, les participants cria. « Régalez-nous les gars !! » « Démonter les monstres ! ». Les participants étaient invités à aller au centre de l'arène.

Le roi Vinz se leva à nouveau pour reprendre son discours. « Chers participants. Merci pour être venu aujourd'hui. Vous êtes sûrement venu avec un gros objectif. Vous êtes tous prêts des 10 000 pièces d'or. J'espère de tout cœur que vous allez vous en sortir pour les empocher, même si les chances sont très minimes. Laissez-moi vous expliquer comment ces combats d'arènes sont mis en structure. Il-y-a 3 manches. La première manche est assez facile, la deuxième est moyenne... Mais la troisième est difficile ! Bonne chance. Muahahahaha ! »

Le roi s'assis à nouveau et prenais un poulet dans sa main et le mangea. « Votre majesté, vous avez oublié d'ordonner quelque chose. » dit un garde.

- Que dis-tu imbécile ?! Je viens de finir mon discours, les jeux ont commencé.

- Vous devez ouvrir les barreaux, votre majesté.

-Ah... OUVREZ LES BARREAUX ET DONNEZ NOUS DU SPECTACLE !

Les barreaux s'ouvrèrent. Doucement et à nouveau avec ce bruit insupportable. Fûtaro entendait plusieurs bruits. Déjà, le cri des supporters. Une fois que les barreaux s'ouvrèrent, ils étaient plus actifs que jamais. Mais ce n'étaient pas ces cris la qui l'inquiétait. C'étaient les bruits terrifiants qui venaient derrière des barreaux. C'étaient des petits cris mais, ce n'était pas un seul cri. Il-y-avait plusieurs cris. Fûtaro tremblait de partout. « Qu'est-ce qu'il peut bien se cacher derrière ces barreaux ? » dis-t 'il à Pedro. Pedro le regardait. Il vu la peur de Fûtaro dans ses yeux. Il ne s'avait pas quoi lui dire. Les barreaux continuaient tout doucement à s'ouvrir et il ne s'avait pas quoi lui dire pour le motiver à se battre et survivre jusqu'à la fin. Rien ne l'obligeait à même dire quelque chose. Mais en regardant Fûtaro, il se souvenait de quelqu'un qu'il connaissait bien. Quelqu'un qui lui à appris à se battre. Leur ressemblance était frappante. Pedro dégaina son épée, et fut quelque chose qui était passé par sa tête. « C'est ça ou le laisser crever » pensa Pedro. Il posa le côté plat de sa lame sur la tête de Fûtaro et lui dis : « Tu es maintenant officiellement un guerrier, Fûtaro. Tu es ici avec un but magnifique, aider ta famille. C'est grâce à ça que tu vas t'en sortir. Tu vas survivre et ramener l'argent à ta famille. »

Après cette phrase, Fûtaro arrêta de trembler. Il y avait même un sourire sur son visage. « Maintenant dégaine ton épée. » Fûtaro lâchait le plus grand des sourires. « Oui m'sieur ! ». Après cette discussion, les barreaux étaient enfin ouverts. Le début des combats d'arènes allait enfin commencer.