_"Tu l'as tué "
3 mots,
Une phrase ,
Une accusation .Voilà ce qu'il a fallu pour que le peu de force qu'il me reste et de courage se dissipent,
Celui qui a dit que les mots blessent plus ce que les coups,
Sait ce qu'il dit.Je...... Je ne l'ai pas tué,
Je n'aurai jamais,
Osé,
jamais pu
Jamais.Je l'aimais moi aussi bordel de merde,
C'est si dur de comprendre,
Que moi aussi je souffre de cette séparation,
Moi aussi,
Elle était mon monde,
Comme ci que je n'étais pas assez mal,
Pour qu'elle vienne
M' assèner avec ses mots,
Ou plutôt sa méchanceté.Les gens sont si injustes et cruelles,
Égoïste,
Facile de dire,
Facile de blesser,
Facile de juger,
Mais,
Difficile de se mettre à la place d'autui,
Et,
Difficile de réfléchir avant de parler,
Aux conséquences de ses propos.Je regarde ma main,
Je sais que ça vient d'elle,
Qu'aurait elle a me dire....Je fus interrompu, par le micro,
Une femme dont j'ignore l'existence,
L'air faussement dévastée,
Se tenait devant le micro,
Prête à parler.Ça m'a rappelé,
L enterment De mon grand frère,
Mon seul parent,
Il n'était pas aimé par grand monde ,
Il était malade,
La maladie le rongé de l'intérieur , ,
Il s'éteignais de plus en plus
jour après jour,
Doucement et,
Sûrement.Tout le monde le voyaient mourir.
Personne n'a agis,Et le jour de sa mort,
Tout le monde est venu,
Pleurer son décès.Mdr
C'est pas un peu trop tôt , non ?_"Drôle de monde.. ", pensais je
J'étais petit,
Et faible,
Comme aujourd'hui,
Mais la seul différenceC'est que aujourd'hui,
Je ne suis pas petit,
Je me sens petit....Je suis sorti de cet enfer
Pour retrouver la voix de ma douce Eala,Je l'active:
"il en a fallut des jours sombres, "
Sa voix...
Mon cœur se serre,
Et puis,
Peut être que je ne suis pas prêt.." tu ne seras jamais prêt,
Tu n'es qu'un lâche,
Lâche. "Je soupire,
La vérité blesse, non ?" Il en a fallut des jours sombres ,
Des jours noirs,
Ou je maudissais la vie,
Sur mon oreiller,
J'ai soigneusement laissée,
Quelques feuilles usées,
Usées par mes soins,
Par un crayon un peu âgé,
Et mal tailléTu le connais..
*soupire *
Toi aussi,
Ce sentiment lourd qui te ronge,
Celui qui ne te lâche pas,
Et contre lequel,
Tu penses être impuissant,
J'ai gardé mes armes,Sans ne jamais,
Reculer face au danger.Mais,
J'ai garde le silence aussi,
Et,
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Derniers mots.
Short Story" si mal... Tout a basculé, sans que je ne puisse prendre compte du fait que ce monde était plus sale que tout les autres, mon cœur me hurle, il me hurle que je v...