Gamine. C'est comme ça que les gens l'appellent. Le monde elle l'illumine, en regardant le ciel.
Le corps frêle, les yeux écarquillés.
Les gens la disent belle, avec son sourire édenté.
Des cheveux longs, aux reflets de soleil. Quelques taches de son, qui émerveillent.
Gamine. C'est comme ça que les gens l'appellent. Le monde elle l'illumine, en regardant le ciel.
Le rire facile, le sourire permanent.
Tracés au feutre indélébile, sur son visage d'enfant.
De grands gestes de la main, une position de danseuse.
Petit humain, à l'âme rêveuse.
Gamine. C'est comme ça que les gens l'appellent. Le monde elle l'illumine, en regardant le ciel.
Curieuse comme pas deux, au sourire innocent.
Elle observe les cieux, avec ses parents.
Colère froide et passagère, aux remords incessants.
Petite lumière, regrette ces moments.
Gamine. C'est comme ça que les gens l'appellent. Le monde elle l'illumine, en regardant le ciel.
Pas rancunière pour deux sous, même après tourmente.
Elle a le sourire doux, le visage insouciant, de ceux que rien ne hante.
Elle lit, chante, danse, court, rit, sourit, aime et grandit.
Entourée de bonheur et d'amour, Gamine s'épanouit.
Gamine. C'est comme ça que les gens l'appellent. Le monde elle l'illumine, en regardant le ciel.
Elle aimait cueillir des fleurs, courir dans les champs agricoles,
Du monde elle n'avait pas peur, pour visiter, elle séchait l'école,
Faire des gâteaux, se baigner dans la mer,
Riant haut, insoucieuse de l'amer.
Gamine. C'est comme ça que les gens l'appellaient. Le monde elle l'illuminait, en regardant le ciel.
On en oubliait presque son prénom, la gamine. Mais depuis qu'elle a laissé ce surnom, il ne reste que Maëline.
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~Recueil de poèmes~
ПоэзияUn peu de tout, Beaucoup de rien. Rien qui ne vaut deux sous, Mais tout est mien. Ici ce sont des poèmes, Des fragments de pensées. Il y en a qui disent je t'aime, D'autres qui signifient je te hais. C'est l'inspiration qui mène, C'est elle qui me...
