Chapitre 10

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J'ai fais un merveilleux rêve, un rêve d'une déclaration d'amour,en plus du seul amour de ma vie, le seul au monde a avoir ce visage si unique et si merveilleux, ses traits sont si parfaitement dessiner et rien que le voir être heureux me donne envies de sourire d'un sourire des plus sincères.
Même si il est avec un autres et qu'il s'en fiche Totalement de moi. Il doit connaître mon nom par politesse et puis c'est tout. Je garde les yeux fermer d'ailleurs, pour ne pas voir le monde réel.
Me souvenir de son Visage. La première chose que je voie des que je ferme les yeux et son sourire. J'ouvre finalement les yeux et la première chose que je voie est le ciel lumineux par les étoiles et la lune. Je me relève légèrement. Personne n'a du venir me voir vue la classes de merde et la famille de merde que j'ai,
Et ma soeur a du s'enfuir de la maison comme elle avais prévu de faire. Je me retrouve maintenant seul avec mon père. Je ne sais pas pourquoi mais rien que d'y penser me donne déjà une idée. Maintenant il n'y a plus personne pour l'arrêté alors ça vas vite passer a 5 tabassage par jour au lieu 1....
Je soupire, j'ai même pas envie de rentrer. Je n'est même pas envie de retourner a la réalité.

Finalement une infirmière est venue est a vue que j'étais réveillée, elle a appelle les médecins est ils ont vérifié si tout aller bien avant d'appeler mon père pour me ramène chez moi. Mon père. Appeller en pleine nuit. Je vais prendre très chère.
Pendant le trajet comment vous dire que je me fais vachement défoncé et finalement, enfin rentrer chez nous je paye le prie d'être née.
Finalement j'arrive a dormir 4 heure. C'est mon record depuis que maman et partie.
J'ai eu tellement de chances... Je ne savais même pas que je pouvais dormir 4 heures d'affilée.
En allant en cours, je me fais racketter sur le chemin et tabasser comme d'habitude et en venant a l'école c'est pire.
Alors que nous sommes en classes je regarde l'oiseau qui s'est déposer sur une branche d'un cerisier, la chance. Il peu voler.. je reste bien dix minutes a regarder l'oiseau avant que kacchan me hurle dessus, il arrive à me sortir de mes pensées mais ça a réussi a faire des fou rire a ma classe. Niveau insulte j'en prend plein la tronche. Je baisse la tête et ne dis rien, mon regard croisé le regard d'un ange d'or, il me regarde avec Pitier et je détourné le regard. J'ai trop honte de moi pour supporter ce regard.
Nous recommencons des excercise pour le concours, mais je refuse même d'accorder a mon amour un seul regard. Je veux pas... Je veux pas voir son visage si magnifique, j'ai pas envie de m'en prendre une de la part de kacchan. Je suis désolée mon petit ange doré, mais... J'en peu plus de me prendre tout ses coups. Alors si il faut ne pas te regarder pour ne pas avoir trop de coups.... Je le ferai... J'ai des milliards de photos de ton visage pour pouvoir te voir, je te suis sur tout les réseaux sociaux je like chacune de tes photos et pour pas me faire repérer je ne montre aucune photos de moi sur les réseaux sociaux. J'ai trop peur... Je suis horrible...pas question que quelqu'un voie ma tête, je veux pas lui infliger une horreur pareille...
Alors que je commence a faire du piano, je me concentre pour finalement être complètement dans mon monde. J'ai tellement envie de pleurer pourtant. De hurler, de pouvoir me lâcher, dire les problème, dire mes sentiments en vers toi.
Izuku Midoriya.
L'homme dont je suis fou amoureux depuis le collège.
Finalement la pose déjeuner est la. Ma classes est partie directement sans prendre le temps de m'écouter. Je baisse la tête est retiens mes larmes. Mais alors que je me retourne je voie encore midoriya, ça m'arrache un petit sursaut. Il m'a écoute ? Jusqu'au bout?!
Impossible !!! Il vas me faire un truc j'en suis sur!

«pourquoi tu a voulu mourir..?»

il baisse la tête a son tour.
J'ecarquiller les yeux, le prof a du le dire... Mais pourquoi il ne me demande pas de me tuer ?
M-midoriya-kun..? Tu pleure...?
Par je ne sais quel raison, ma main se dépose sur sa joue est efface ses larmes, alors que j'allais dire "ne pleure pas pour une horreur comme moi" je voie kacchan qui me fais signes qu'il vas m'egorger, je prend peur et enlève vite ma main, midoriya relevé le visage, est alors qu'il aller regarder dans la direction ou je regarde, je prend peur et pour ne pas qu'il voie mon soucis avec kacchan, je le pousse Violemment et il tombe et fais tomber une table, mon coeur se détruit je m'abaisse pour voir si tout vas bien, je le voie pleurer a cause de moi....je suis un monstre....il faut que je parte....je ne suis rien qu'une erreur... personne ne m'aime!! Je suis juste une merde!  Il faut que je parte et comme ça je ne ferrai plus jamais de mal a personne !
Alors je pars en courant de la classes, kacchan me cours après et on me fais un crochet pied et on me ramène au toilette.
Après cette scène horrible, je vais m'enfuir en boitant fortement alors que je saigne fortement, je m'en vais sur le toit, il n'y a que ce qui étudie les étoiles qui on le droit de venir sur le toit. Alors personne ne viendra.
Je soigne mon corps. Je me souviens que je m'étais inscrit a ce club pour être avec midoriya mais il ne viens jamais au réunion de club, et comme je suis le seul, et bien je profite de mon endroit secret, le toit. C'est le seul endroit où il n'y a personne. Je soupire et m'allonge par terre. Bon...le vieux ne sera pas contre de ne pas me voir revenir a la maisons ce soir, et il ne s'inquiétera pas pour moi. Je vais passer la nuit ici. Ça vas sûrement me faire du bien. J'appelle fuyumi et finalement vers 17 heure elle viens.
Elle me sourit et m'apporte des beignet au chocolat, mes préfère.
Je mange en regardant le couche de soleil avec elle et prie de pitier elle décide de rester une partie de la nuit. Au bout de moment, je pleure sur son torse et lui explique tout se que ma classe m'a fais subir, elle caresse mes cheveux et m'écoute. Mais au bout d'un moment on entend le bruit de clés qui tombe a par-terre, elle se relève en vitesse et viens voir qui est ce.
La personne est partie en vitesse.

l'amour a un son. [en collaboration avec Laura tytary]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant