Le Monde Magique D'Utopia T1 TERMINÉ (Mais En Correction)

Un Combat Titanesque

Sans maintenir ma forme de Dragonne blanche plus longtemps, je repris mo, apparence humaine."Pourquoi? Pourquoi ne suis-je plus en Dragon? Que m'arrive-t-il? Pourquoi je me sens si faible, tout à coup?" Me demandais-je mentalement. Mais je devais tirer la situation à mon avantage. Etant la seule en humaine, je pouvais donc passer dans cette brèche, sans la moindre difficultés. Même si je me sentais dépourvue de forces, je couru donc vers l'autre celllule pour trouer Feather.

J'y pénétrais. Mais le Dragon Violet-lilas, était emprisonné et enchaîné. Enchaîné par des chaînes verdâtres et jaunâtres fluorescentes. Elles semblaient faites d'une matière inconnue, encore plus solide que la roche. Une texture magique... j'appliquais mes mains sur ces chaînes et remontais dans un lointain passé.

Dans ce souvenir, il y avait l'homme mi-lézard, mi-humain, qui semblait se faire violemment réprimander, par une Terrafosa gigantesque. Cette femme-araignée tenait un bâton, et s'en servait comme objet d'hypnose. Ce qui eut plutôt un effet "positif" sur le "roi" de ce monde céleste. Cependant, la lune éclairait la pièce, ce qui signifiait que le palais-flottant était toujours au sol, ou encore dans l'atmosphère de la Terre.

Puis, cette femme hybride lui parla d'une voix sifflante et mécanique. Elle lui disait de capturer les Dragons dans les cachots, de les y séquestrer et les tuer. Lais pour se faire, elle lui donne une sorte de fiole, contenant un liquide verdâtre fluo; ce qui faisait étrangement échos à la couleur des chaînes. Puis, ma vision du passé se troubla pour revenir dans un temps plus "actuel". Feather arpentait le ciel et l'homme-lézard lui lança une fléchette rouge, contenant un liquide violet, à la base du coup. Le Dragon tomba aussitôt, endormi par la potion anesthésiante.

A l'aide de je-ne-sais qu'elle magie, il se retrouva sur la plateau de terre, autour du château. Le "roi" le chargea sur ses épaules, sans nulles difficultés. Il le déposa ensuite dans la cellule, l'enchaina à ses pattes et appliqua le baume jaunâtre sur les chaînes. Celles-ci prirent immédiatement la couleur du liquide contenu dans la fiole et devinrent quasi invulnérables. Oui, j'ai bien dis "quasi invulnérables " car, lorsque ma vision se poursuivait, je vu l'homme à la peau verte visqueuse et aux yeux comme des braises, mettre un liquide violet sur la chaine. Celle-ci perdit instantanément sa couleur fluorescente et redevint qu'acteur. Il fit manger Feather , puis le remis dans sa cage. Il aspergeant de nouveaux les maillons de cette potion jaune, rendant les objet indestructible. Et c'est ici que le souvenir s'estompait.

Je regardais autour de moi, confuse. Je me trouvais dans deux endroits à la fois. J'étais et devant la cellule du Dragon et dans ce qui ressemblait à un laboratoire de chimie ou d'alchimie. C'était comme si j'étais, à ce moment, deux personnes distincte mais dans un même corps. En voyant que le sol dans la pièce chimique s'effacer petit à petit, mais tout de même rapide, je compris que le temps m'étais compté et que je devais au plus vite, trouver ce flacon violet; ce même récipient qui servait "d'abris" à la potion anesthésiante.

Au bout de cinq minute de recherche, je le trouvais enfin. Il était tout là-haut, mais étant sous forme de petite humaine, je ne pouvais pas certes l'atteindre. Je tenter, bien inutilement d'ailleurs, de me transformer sous mon aspect originel; le Dragon blanc, bordé de doré et de bleu pâle, presque translucide. Dans la pièce, ne restait que quelques carreaux et deux-trois meubles. Avec précision mais rapidité, je sautais sur ces deux derniers et j'attrapais in extremis la fiole. Alors que je venais d'à peine de la prendre en main, que le reste du sol et du matériel disparu instantanément.

Je réintégrais brutalement mon corps physique, mais je n'eut pas mal. Puis,la fiole toujours en main, je me faufilait à travers les barreaux usés. Comme j'avais l 'homme lézard le faire, j'appliquais le baume endormissant, avec précaution. Maintenant, les chaînes perdirent leur fluorescente. Les maillons n'étaient plus indestructibles.