Le Monde Magique D'Utopia T1 TERMINÉ (Mais En Correction)

Les Ailes de L'Ange

Après ce long et féroce combat, nous sautâmes tous de joie. Nous commencions à incendier les cadavre des Terrafosa, croyant qu'il n'y avait plus aucun survivant. Cependant, une était restée en vie. Alors que je marchais aux côtés d'Alicen, main dans la main, ayant repris forme humaine de part l'épuisement des considérables efforts de cette bataille, quelque chose se faufila dans mon dos. Mon époux, ayant un don de sixième sens, se tourna d'un bloc. Mais ni lui ni moi, ne pûmes réagir, qu'un objet froid et pointu, me traversa.

Je me tournais et je vu mon agresseur. C'etait une terrafosa d'un rouge comme le sang. Elle avait des mandibules jaunes et noir, qui émettaient un cliquetis effroyable. Je la vu esquisser un grand sourire de satisfaction. Mais à peine l'eut-elle manifester, qu'elle subissait une triple attaque combinée. Alicen et Vegetabilis lui lancèrent de l'eau et des lianes affamées. Ensuite, Helado et Semaforo, exécutent une attaque "choc-thermique". Et pour finir, Feather lui envoya une tornades, empli de la lumière destructrice et rapide de Borealis.

Je l'entendais pousser un horrible cri, qui me déchira les tympans. Maintenant, ma vision se brouillait la terre autour de moi, se mit à tournoyer très brutalement. Bien que j'étais allongée au sol, je me sentis tomber dans le vide intersidéral. Je respirais avec de plus en plus de difficultés. Je me sentais me vider. Je baignais dans un liquide chaud; mon sang. La douleur disparaissait au fur et à mesure que cette fraîcheur chaleureuse l'accueillait. Les parfums ne faisaient presque plus frissonner mes narines.

Bien que ma vision était très faible, je parvins tout de même à distinguer Alicen, Semaforo et Borealis, et compagnie, courir vers moi. La Dragonne de la lumière avait prit, elle aussi une apparence humaine. Celle du Feu ne tarda pas à suivre. Ainsi que Vegetabilis, Helado et Feather.

Semaforo était très belle avec ses cheveux roux, presque rouges, dégradés de jaunes ardent, tressés en une grosse natte sur son côté droit. Elle avait trois perles flamboyantes, qui attachaient ses cheveux. Ses yeux jaune ambré, avec leur pupilles verticales, me fascinaient. Elle était d'une telle beauté! Cependant, il était dommage que je ne la voyait sous cette forme, que dans mon état actuel.

Ils se rapprochèrent de moi. Mais je n'étais plus capables de voir qui était qui. Je sentais quelque chose de doux, de chaleureux et de froid, qui me prenait, certes lentement. Je sentis quelqu'un se poser sur mon corps. Mais cela m'étais à peine perceptible. Quelque chose de vif effleura mes lèvres, mais je ne sentais pas les sensations, que j'aurais dû percevoir.

Non. C'était aussi léger qu'une brise printanière. J'entendis alors une voix, qui pour moi, murmurait. Elle me disait une chose, un mot tant de fois répété, encore et encore, sans arrêt; des lettres qui ne voulaient à la fois rien et tout dire, quelque chose qui ne signifiait rien de particulier : "Aquila". Ce mot, j'étais en train de l'oublier. La vie en moi s'évaporait, comme s'évapore la buée.

Avant de rendre mon dernier souffle de vie, je sentis des bras me prendre. J'eus à peine la force d'ouvrir une dernière fois les yeux, pour voir une dernière fois cette personne, que je chérissait plus qu'au monde. Celui que je penser ne jamais quitter. Je voulu caresser sa joue une dernière fois, mais mes forces m'anandonnèrent finalement. Maintenant, je me sentais aspirée dans un autre monde...

Je me trouvais à nouveau dans cette dimension toute blanche, que j'avais visité, il y a quelques semaines, quand je sortais de mon coma d'une année. A la place que se soit Spiritualità, mon Guide Spirituel, qui m'accueillait, c'était une très bonne amie que j'avais cru, perdue à jamais. Devant-moi, se tenait une fée manifique et enchanteresse; l'Ancienne Nymphe, celle qui était là avant moi. Celle qui avait perdu la vie, a plus de cinq cents ans. Vous l'avez bien deviné, il s'agissait de Mellaya.