Chapitre un deuxième partie.

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M.Styles éxige-t-il que toutes ses employée soient blondes ?

Je suis vaguement en train de me demander si c'est légal lorsque la porte du bureau s'ouvre pour laisser passer un homme noir de haute taille, élégant, coiffé de dreadloks courtes. Il se retourne vers l'interieur du bureau.
-Une parties de golf cette semaine, styles ?
Je n'entend pas la reponse. Lorsqu'il m'aperçois, il me souris. Olivia a bondit pour appeler l'ascenseur. En faite, elle est encore plus nerveuse que moi !
-Bon après midi, mesdames, monsieur, lance-t-il en montant dans l'ascenseur.
-M.Styles va vous recevoir maintenant, monsieur Tomlinson, m'informe la Blonde Numéro Deux.
Je me lève en tentant de maîtriser mon trac, attrape mon sac à dos et m'avance vers la porte entrouverte.
-Inutile de frapper, entrez directement, ajoute-elle avec un sourire d'encouragement.
En poussant la porte, je trébuche et c'est a quattre pattes que j'atteris dans le bureau de M.Styles. Et merde, merde, merde ! Des mains secourables m'aident à me relever. Je suis mort de honte. Moi et ma fichue maladresse ! Je dois rassembler tout mon courage a deux mains our lever les yeux. Oh, la vache - qu'est ce qu'il est jeune !
Il me tend une main au longs doigt fin.
-Monsieur Tomlinson, je suis Harry Styles. Vous ne vous êtes pas trop fait mal ? Vous voulez vous asseoir ?
Il est vraiment très jeune- et vraiment très beau. Grand, en costume gris, chemise blanche et cravate noir. Des cheveux rebelle sombre au nuances claire, des yeux vert et vif qui me scrutent d'un air avisé. Je mets un moment à retrouver ma voix.
-Euh...Enfin..
Si ce type a plus de trente ans, moi je suis le roi du monde. Ebahi, je lui serre la main. Des que nos doigts se touchent, un frisson étrange me parcourt. Je retire precipitament ma main. L'éléctricitée statique, sans doutes. Mes paupières papillonnent; elles battent aussi vite que mon coeur.
-Monsieur Horan est souffrant, c'est moi qui le remplace. J'éspère que ça ne vous ennuie pas, monsieur Styles.
-Et vous êtes ?
Sa voix est chaleureuse, peut-être amusée, mais son visage reste impassible. Il semble vaguement intéréssé; poli, surtout.
-Louis Tomlinson. Je prépare ma licence de lettres, j'étudie avec Niall, euh...Horan, euh.. Monsieur Horan, à l'université de Vancouver.
-Je vois, se contente-t-il de répondre.
Je crois voir passer l'ombre d'un sourire, mais je ne suis pas certain.
-Asseyez-vous, je vous en prie.

Il désigne un canapé en cuir blanc en forme de "L". La piece est bien trop grande pour une seule personne. Le bureau, très design, pourrais convenir à un dîner pour six personnes; il est en chêne, comme la table basse près du canapé, mais tout le reste est blanc: le plafond, le sol, les murs. Seule tache de couleur, une mosaïque de trente-six petit tableau exquis, disposé en carré, représentant une série d'objet quotidiens du passé avec une telle finesse de travail qu'on dirais des photos. L'ensemble est saisissant.
-Un artiste local. Trouton, présise Styles en suivant mon regard.
-Il sont ravissant. Ils rendent extraordinaire des objets ordinaires.
Je murmure, troublé a la fois par les tableaux et par lui. Il penche la tête sur son épaule pour me scruter intensément.
-Je suis tout a fait d'accord, monsieur Tomlinson, répond-il d'une voix douce.
Je ne sais pas pourquoi, je rougis.
Mis a part les tableaux, le bureau est froid, dépouiller, clinique. Je me demande si cela reflète la personalitée de l'Adonis qui se cale en souplesse dans l'un des fauteuils en cuir blanc en face de moi. Déconectée par le tour que prennent mes pénsées, je secoue la tête et tire les questions de Niall de mon sac à dos. Je suis tellement nerveux en installant mon dictaphone que je le fait tomber par terre par deux reprises. M.Styles ne dit rien, il attend patiemment -enfin j'éspère-, alors que je suis de plus en plus confuus et febriles. Quand je trouve enfin le courage de le regarder, je constate qu'il m'observe, une main sur une cuisse et l'autre qui soutient son menton, en caressant ses lèvres de l'index. Je crois qu'il se retient de sourire.

-D...désolé. Je n'ai pas l'habitude de faire ça.
-Prenez votre temps, monsieur Tomlinson.
-Ca vous ennuie que je vous enregistre ?
-C'est maintenant que vous me posez la question, qprès tout le mal que vous vous êtes donné pour installé votre dictaphone ?
Je m'enpourpre. Est-ce qu'il me taquine ? Je l'éspère. Je clique des yeux en le regardant, sans savoir quoi répondre. Il finit par me prendre en pitié.
-Non, ça ne m'ennuie pas.
-Niall, enfin Monsieur Horan, vous a-t-il expliqué la raison de l'interview ?
-Oui. Elle paraît dans le numéro de fin d'année du journal des étudiants, puisque je doit remettre des diplomes.

Ah bon ? Première nouvelle. Ca me fait un drôle d'éffet de penser qu'un type a peine plus agé que moi -six ans a tout casser-, même richissime, vas me remettre mon diplome. Bon, allez, on se concentre. Je déglutit.

-Bien. J'ai quelque questions a vous posez, monsieurs Styles.
Je passe ma main dans mes cheveux pour les remettre en arrière.
-Je m'en doutais un peu, replique-t-il.
Cette fois, c'est sur, il se moque de moi. Mes joues s'embrasent. Je me redresse et tente de prendre une allure proffesionelle en appuyant sur le boutons "enregistrer".
-Vous êtes très jeunes pour avoir batît un pareil empire. A quoi devez-vous votre succès ?
Il sourit d'un air modeste mais vaguement déçu.
-En affaires, tout est une question de personnes, monsieur Tomlinson, et je suis très doué pour juger les gens. Je sais comment ils fonctionnent, ce qui les fait s'épanouir, ce qui les brides, ce qui les inspire, ce qui les pousse a se dépasser. J'emploie une equipe exeptionnelle, que je recompense largement de ses efforts.
Il se tait un instant en me fixant de ses yeux gris.
-Je suis persuadé que pour réussir un projet, quel qu'il soit, il faut le maîtriser a fond, dans tout ses détails. Je travaille énormément pour y arriver. Je prend des décision fondées sur la logique et les faits; je sais repérer d'instinct les idées solides et develloper leur potentiel. L'essentiel c'est de savoir choisir son équipe.
-Ou alors, vous avez eu de la chance, tout simplement.
Ca ne fait pas partie des questions de Niall, mais il est d'une telle arogance ! Il a l'air surpris.
-Je ne crois pas a la chance ou au hasard monsieur Tomlinson. Il sagit réellement de choisir les bons collaborateurs et de les diriger efficacement. Je crois que c'est Harvey Firestone qui a dit : " La croissance et le développement des gens est la vocation la plus élevée du liedership."
-Autrement dit, vous êtes un maniaque du contrôle.
Ces mots me sont sortis de la bouche malgré moi.
-Oui, j'exerce mon contrôle dans tous les domaines, monsieur Tomlinson, affirme-t-il en souriantt sans une trace d'humour.
Il soutient mon regard sans ciller. Mon coeur s'emballe et je rougis de nouveaux. Pourquoi me déstabilise-t-il autant ? Serais-ce son incroyable bauté ? La façon dont ses yeux s'enflamment lorsqu'il me regarde, ou dont son index caresse sa lèvre inferieure ? Si seulement il pouvais arrêter de faire ça...
-De plus, on n'acquiert un pouvoir immense que si on est persuadé d'être né pour tout contrôler, reprend-il d'une voix douce.
-Vous avez le sentiment de détenir un pouvoir immense ?
Espèce de maniaque du contrôle.
-J'ai plus de quarante mille salarié, monsieur Tomlinson. Cela me confère de grandes responsabilités -autrement dit, du pouvoir. Si je décidais du jour au lendemain que l'industrie des télécommunications ne m'interessait plus et que je vendais mon entreprise, vingt mille personnes auraient du mal a boucler leur fin de mois.

Cinquante nuances, Larry.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant