R3/08.04.20/JeDo-h

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Un dernier et après je compte.

Comment est ce que tu peux être radin sur un baiser?

Toujours la même question. Jeno savait très bien comment faire durer les au revoirs devant la porte du bâtiment de Doyoung. Il en demandait toujours un de plus quand l'aîné lui disait de filer, ne voulant pas le lâcher. Ils se connaissaient depuis un peu plus d'un an maintenant, Jeno entamait sa deuxième année d'université tandis que Doyoung commençait sa troisième après avoir tenté une autre filière. Ils sortaient ensemble officiellement depuis quelques mois seulement mais se tournaient autour depuis leur rencontre au bureau des étudiants.

Plus tu restes avec moi et moins je veux te laisser partir, tu le sais en plus.

Je peux rester avec toi aussi...

On est en semaine Jen, et ça va devenir une mauvaise habitude.

À la voix désolée de Doyoung le plus jeune se résigna à rentrer chez lui. Il savait que son copain avait instauré la règle des dix secondes pour éviter de se faire du mal en le voyant partir quand il le raccompagnait devant chez lui. Doyoung était le genre de personne à tout prendre sur lui et garder à l'intérieur tout ce qui lui déplaisait ou lui faisait du mal. Comme quand ses amis plaisnataient sur lui et qu'il riait pour ne pas montrer qu'il était blessé, Doyoung n'aimait pas laisser Jeno rentrer chez lui alors qu'il l'avait dans ses bras. Il lui donna un baiser du bout des lèvres seulement, pour lui demander de ne pas l'approfondir plus que ça et de ne pas insister.

Allé, rentre avant que je te cours après.

Je t'aime hyung, à demain!

Doyoung sourit à ses yeux plissés par son sourire et ferma les siens. Les poings serrés il compta simplement jusqu'à dix à voix haute, jusqu'à les réouvrit le coeur lourd pour voir que Jeno était bel et bien parti. C'était toujours trop dur de le voir s'en aller alors fermer les yeux et compter facilitait les choses. C'était la première fois qu'il aimait quelqu'un si fort, et cette fois il espérait vraiment voir Jeno toujours devant lui en ouvrant les yeux au points qu'il fondit en larmes en ne le voyant pas. Ça faisait vraiment trop mal.

Hyung, je suis là.

Jeno était dans son dos, le prit contre son torse et le serra de toute sa force contre lui. Il avait senti quelque chose était différent aujourd'hui et avait bien fait de se cacher derrière lui pour quémander des baisers en plus, Doyoung était vraiment trop précieux pour qu'il le laisse tout seul.




N/a: oui j'ai dépassé les 400 mots mais j'aime Doyoung d'accord? Je pouvais pas le laisser pleurer tout seul.

N/a: oui j'ai dépassé les 400 mots mais j'aime Doyoung d'accord? Je pouvais pas le laisser pleurer tout seul

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J'aime tellement Doyoung vous imaginez pas :(

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J'aime tellement Doyoung vous imaginez pas :(

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