Ma vie en double image

Chapitre 2: Le roman

J'ai courue sous la pluie. Après avoir lu l'inscription sur ma tombe, la peur était devenue mon allié. Je voulais sortir de cet endroit et j'ai courue longtemps, avec le mauvais temps. Mes longs cheveux bruns tout trompé, et mes mèches me retombant sur le front, mes yeux bruns ayant pris la couleur de l'eau : j'étais au pire de ma personne. La douleur de mes jambes était indescriptible, de plus qu'ils devaient supporter mon propre poids. Ma force qui se rapprochait elle aussi peu à peu de l'oubli, je perçu un manoir non loin de ma vue. Il avait l'air vieux, certes, mais pourtant cet endroit m'avait l'air plus chaleureux que ma propre tombe. Je me suis donc mise à courir, sans but précis. Une fois arrivé devant la porte du manoir, je l'ai ouverte, mais une fois entré à l'intérieur je l'ai directement barré. Je me suis retourné observant les lieux. C'était abandonné Je me suis mise à marcher laissant derrière moi un longue coulé d'eau, marquant ma présence. La première pièce étant à ma porte de vue n'était pas le salon, mais plutôt une vaste bibliothèque qu'elle y renfermait. Lorsque je m'en suis rapproché, un roman, assez épais attira mon attention : il devait avoir plus de 100 ans, pourtant une fois ouvert les pages y étaient intact. Je l'ai feuilleté jamais je n'aurais cru que cette action changera ma vie. L'histoire n'a pas de fin. Aucune. Son contenue s'arrête au milieu du livre, laissant derrière lui une décennie de pages blanches. La confusion se mêla à mon esprit. Quel était le but d'avoir un roman si l'histoire de se fini même pas? J'ai continué de même mes actions et je me suis rendu compte que l'histoire qu'elle renferme se termine au milieu de sa phrase, pourtant ce n'est pas un journal pour que ce soit écrit à la main. Le livre encore dans ma main, ma douleur, elle encore dans mes jambes me força à aller m'assoir sur un sofa a quelque mètre de cette bibliothèque. Pendant que mes jambes reprenaient leurs forces, moi, je pris la première page et commença à lire.