Division 2 : L'amour à travers la guerre

Chapitre 8

30 minutes plus tard.....

Les 3 hommes finissent par sortir de la maison en courant, des voitures se font entendre ainsi que des coups de feu, je commence donc à retirer les planches pour pouvoir sortir de ma cachette. Je jette de bref coup d'oeil aux alentour avant de me lever, je file à l'étage et je me mets à chercher ce fameux placard, j'ouvre une porte et vois un tapis enrouler sur lui-même. Je me mets donc à appeler Amixem afin de voir s'il est bien la, l'objet se met à bouger, j'attrape mon couteau sans pour autant le sortir, Amixem finit par en sortir sourire aux lèvres. On n'a pas le temps d'ajouter quelque chose que des bruits de pas se font entendre, je rentre dans le placard, ferme la porte avant d'attraper mon couteau. Il se passe quelque secondes avant que la poignée soit enclencher, je me prépare à me jeter sur la personne derrière celle-ci mais à peine ouvert de quelques centimètres j'aperçois Vodk, je me jette alors dans ses bras.

Vodk : Lya, Max vous êtes là. * ressert ses bras autour de moi *.
Amixem : Vous auriez pu vous bougez franchement, j'en avait marre de rester dans ce placard.
Vodk : On a fait du mieux qu'on peut, il était encore dans les parages quand on est arrivé.
Lya : Vous les avez tués ?
Vodk : Oui même si certains se sont échapper, bon on y va Joyca doit s'impatienter.

Nous filons donc à l'entrée de la maison, Joyca était semi assit sur le capot de la voiture, en arrivant on se fait légèrement sermonner mais il finit par vite s'arrêter car il a compris que Vodk avait sûrement dû le faire quand il nous a retrouver alors que ce n'est pas la cas. Durant le voyage en voiture on reste sur nos gardes, nos armes prêtes à tirer, quelques fois Joyca ne peut s'empêcher de faire quelques blagues pour détendre l'atmosphère. Nous rangeons nos affaires dans la salle des équipements puis Maxime et moi nous nous dirigeons dans une salle qui fait office de bibliothèque, bureau, salle de détente etc.....nous devons rédiger un résumer de tout ce qui s'est passer dans notre mission, j'écris pendant que Max dicte, au bout de 20 minutes c'est régler, je file donc la donner à Joyca qui la passera au chef de la division avant de tous se retrouver à table. Nous dégustons quelque amuse-bouche tout en parlant des hyènes comme quoi il ferait subir tout type de torture à leurs prisonniers, certaines sont tellement horrible que j'ai l'impression que je pourrais vomir le peu que j'ai dans l'estomac. Après notre conversation je monte sur le toit de la maison blanche, je m'assois sur un muret assez grand pour avoir mes jambes qui pendent dans le vide. Je profite du léger vent dans mes cheveux et du soleil avant que des bruits de pas m'annonce l'arrivée de quelqu'un, je n'ai même pas besoin de me retourner car vu l'ombre projeter au sol, je sais que c'est Vodk. Il vient s'assoir à côté de moi et passe son bras au-dessus de mes épaules, je dépose ma tête sur lui et profite du calme présent car ça risque de ne pas durer.

Vodk : Ça va Lya ?
Lya : Oui et toi ?
Vodk : Oui même si j'avoue que j'ai eu peur quand même quand Maxime m'a envoyer son message d'appel à l'aide ce matin.
Lya : Je suis désolée de t'avoir fait peur, dit moi je peux te poser une question ?
Vodk : Vas-y dit moi.
Lya : Tu peux me parler de ta vie avant cette catastrophe, bien sûr si ça te fait trop du mal d'en parler, tu n'es pas obligé.
Vodk : Ça ne me dérange pas t'inquiète au contraire dans un couple on doit tout se dire, tu veux que je commence par quoi ?
Lya : Ce qui te paraît le plus simple à dire.
Vodk : Bon je suis né le 24 mars, je n'ai ni frère, ni soeur, j'étais créateur d'une marque de vêtement, j'ai vécu quelques années à Vancouver et le reste en France, j'étais un pro du BMX aussi.
Lya : Très intéressant tout ça, tu avais des rêves ou des envies avant tout ça * désigne tout ce qui l'entoure *.
Vodk : Que les gens soient heureux en portant ma marque mais maintenant que tout cela s'arrette pour que tout le monde puise revenir à ce qu'il faisait avant même si je sais que ça risque d'ête difficile.
Lya : * prend sa main * Il faut qu'on continu de se serrer les coudes, on finira par bien anéantir tous ceux qui nous cause du souci.
Vodk : Et toi alors tu avais des rêves ?
Lya : J'aurais aimée vivre en Italie, avoir une maison à la montagne avec mon cabinet de médecin à côté ainsi que des enfants.
Vodk : Tu m'a moi maintenant comme famille.
Lya : C'est vrai je t'aime.
Vodk : Je t'aime aussi.

Nous finissons par nous embrasser, nos mains se baladent dans les cheveux de l'autre, ne tenant plus nous nous dirigeons vers sa chambre, une fois la porte passer, il la verouille avant de m'allonger sur son lit. Nos vêtements finissent par se retrouver au sol, et nous sous les draps, nous exprimons notre amour pendans près d'une heure avant d'aller prendre une douche ensemble.