Chapitre 48

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Rayan: maman on est où

Moi: ici c'est chez papa

Kader: c'est vrai ça

Moi: oui vous pouvez frapper à la porte

Les jumeaux ont fait de la porte un tam tam, étrange j'entends une voix familière me répondre de l'intérieur j'hallucine certainement. La porte s'ouvre non je ne rêve pas c'est bien elle.

Moi: (choquée) qu'est ce que tu fais ici ???

Et j'entends la voix de malick depuis la chambre

Malick: BB C'EST QUI À LA PORTE

Tout est claire maintenant j'allais parlé quand je vois malick en face de moi il ne sait même pas gêné qu'il a mis son bras autour du cou de Samira, ma meilleure celle que je considérais comme une partie de moi c'est elle qui me fait ça.

Moi: je vous dérange pas peut être

Malick: si tu nous dérange tu ne vois pas

Samira: arrête ça Malick, non tu ne dérange personne car j'étais sur le point de partir mais tu es arrivée quand

Moi: avant hier

Samira: ok je vous laisse on en reparlera après, c'est pas ce que tu penses.

Samira est partie moi j'étais toujours en face de malick il n'avait pas encore vu les enfants qui étaient cachés derrière la porte Ils voulaient faire une surprise à leur père.

Malick: tu fais quoi ici

Moi: je suis pas venue par plaisir regarde toi même

Les enfants sont sortis de leur cachette. Il fallait voir monsieur comme il était content de voir ses enfants surtout Leïla qu'il n'avait jamais vu. Je me suis contentée de les regarder toute émotive.

Malick: waouh mes garçons ont grandit

Kader: oui et moi je suis content parce qu'on va tous vivre ensemble maintenant

Avec malick on sait échanger un regard et j'ai pris la parole il faut que les enfants sache qu'entre leur père et moi il n'y a rien et qu'on ne va pas tous vivre ensemble.

Moi: écoute kader c'est vrai qu'on est revenu mais on ne va pas tous vivre ensemble

Kader: 😥😥 mais les familles vivent tous ensemble

Moi: oui mais la notre est différente

Malick: t'inquiète pas Kader on va tous vivre ensemble bientôt ok

Je lui ai lancé un de ces regards

Moi: ne lui ment pas ok

Malick: je sais que tu m'aimes toujours et il me suffit un claquement de doigts pour que tu accoures dans mes bras

Moi: tu peux toujours rêver

Malick: tu veux essayer une expérience.

Il s'approche de moi sans gêne, je l'ai repoussé de toutes mes forces j'aurai voulu lui donner une claque mais quand je pense aux enfants.

Moi: ne t'approche plus jamais de moi

Malick: avoue que tu as kiffé

Moi: n'importe quoi j'aurais dû ne pas venir ici

Malick: dis juste que tu voulais me revoir après longtemps et les enfants c'est un prétexte sinon quelqu'un d'autre pouvait les amenés

Moi: c'est ça moi je me tire les jumeaux vont rester avec toi quelques jours j'irai avec Leïla

Le Destin Ambiguë De InaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant