Une maison en ruine et pourtant pas de bruit. Ni camion du SAMU, ni voiture de police. Le silence absolu. Le reste du quartier était calme comme doit l'être chaque quartier résidentiel d'Angleterre. Les voisins dinaient sans se soucier de rien.
Pourtant sans aucune explication un à un les lampadaires s'éteignirent. Dans cette atmosphère mystique une silhouette s'approcha enfin des ruines. Une fois face à se qui fut autre fois l'entrée de la maison la silhouette sortit de sa manche un bout de bois qu'il agita. Cela eu pour effet de faire ce reconstruire l'escalier détruit. La silhouette monta les escaliers.
Une fois à l'étage, la personne fut choquée par la vue d'un cadavre d'homme d'une vingtaine d'année mais elle n'eu pas l'occasion de se recueillir sur la dépouille du défunt, car elle entendit un pleur d'enfant. D'un pas rapide l'inconnue se dirigea vers les pleurs.
Dans une des pièces voisine au premier cadavre et d'où semblait venir les bruit, la personne trouva le corps d'une femme rousse étendue devant le lit à barreaux d'un petit garçon aux cheveux noirs et aux yeux émeraude emplis de larmes, pleurant sa mère qu'il devait avoir compris morte. L'inconnue touchée par les torrents de larmes que le petit garçon pleurait, elle enjamba avec précaution le corps de la femme avec une excuse non dite avant d'attraper le petit garçon et de disparaître avec lui.
L'inconnue tenant le petit garçon réapparut dans une chambre à coucher minimaliste mais chaleureuse. Le feu crépitait dans la cheminée, le lit semblant douillé et chaud et la pièce sentait bon te romarin et l'herbe à chat.
La grande femme aux cheveux grisonnant posa le petit garçon avec douceur avant d'envoyer le personnage du tableau décorant son mur chercher quelqu'un.
Quelques instants plus tard un vieil homme barbu au regard malicieux et en robe de chambre colorée passa l'embrasure de la porte : «
- Minerva que se passe-t-il pour que vous m'appeliez à cette heure ? Oh suis-je bête, le jeune Potter. Dit le vieil homme d'un calme olympien.
- Qu'allons nous faire lui Albus ? Il n'a plus de parents et son parrain au vue de la situation actuelle ne sera surement pas en mesure de le garder. Dit la femme en posant un regard triste au petit garçon qui restait tétanisé sur le lit de Minerva.
- Les Dursley l'hébergeront voyons ! Ils sont sa famille. Dit l'homme simplement.
- Des moldus mais vous n'y pensez pas ! Comment pourraient-ils comprendre ce qu'il se passe ! S'exclama la dénommée Minerva.
- J'insiste Minerva, il doit être à l'écart des représailles des anciens mangemorts, d'ailleurs je vais les en informer immédiatement. Dit Albus d'un ton qui n'autorisait aucun contre argument. »
Sur ces mots Albus sortit de la pièce laissant la femme s'occuper du petit garçon. Elle le calma et transfigura un coussin en lion en peluche afin de rassurer le petit garçon qui devait avoir vu des choses horribles au vue des dégâts causés à la maison et aux Potter.
Pendant ce temps dans un immense bureau remplis de livres, de bric et de broc Albus composait un numéro sur un vieux téléphone à cadran.
Après quelques instants, quelqu'un décrocha le combiné : «
- J'espère que vous avez une bonne raison pour me déranger à cinq heures du matin un dimanche ! S'énervait la personne à l'autre bout du fil
- Malheureusement oui. Est-ce Mme Pétunia Dursley est là ? Cette nouvelle la concerne personnellement. Déclara Albus d'un ton grave.
- Ma femme ! Dites moi pourquoi ? Répliqua l'homme énervé.
- Un membre de la famille de votre femme est malheureusement décédé. Expliqua le vieil homme avec émotion.
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Cornelia Black
FanfictionEst-ce que l'existence d'un seul nouveau personnage peut changer tout le monde sorcier. C'est ce que nous allons voir. Tout commence un soir d'Halloween ou du moins le croit-on. L'univers d'Harry Potter appartient entièrement à J.K. Rowling. Je ne...