Indicible savoir, l'avenue des regrets
Celui qui ne peut voir que les humbles progrès
Et le sage, captif des angoisses mondaines
Dû parler relatif aux remarques soudainesIls étaient dans le noir
L'homme baigne dans sa nuit
Étourdi, sans bruit, il fuit.
S'étourdissant, voit la gloire.
La lumière l'allume. Hier
Encore il se croyait fierÀ l'intérieur, c'est toujours la foire
Désormais ébloui de sagesse éternelle
En recouvrant l'ouïe, revient dans le tunnel
Dans l'abîme on l'assume descendre des cendres
Mais l'homme se parfume de délices tendresOn ne voulut point l'écouter
C'est l'avenue facilité
S'aplatissant sous leurs mensonges
L'avenue noire qui les ronge« Mis à plat, ton prix : l'avenue »
Misa Platon, pris là, venu
Enseigner ce qui fut compris
Chez deux ou trois si bien apprisSi seulement c'était ce soir
Il se fait bien plus tard
Ne voyez-vous pas le noir?4e position dans le 13e défi du concours Écrivons des poèmes, avec les mentions « la Platonique » et « philosophe de nuit ».
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Mots contre maux
PoetryLa poésie... cette intarissable source d'expression, ce jeu de sens et sensations, cet art libérateur qui se veut image d'une réalité que les mots seuls ne peuvent dépeindre... Mon premier recueil de poèmes est le résultat d'une main toujours chance...