Chapitre 18

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Hector : Bonsoir à tous !

Tout le monde hurlent, sifflent et applaudissent.

Hector : J'espère que vous êtes tous en forment, les flics s'occupent d'un cambriolage donc on a une partie de la ville rien que pour nous ! Dit-il en hurlant.

Tout le monde hurlent à nouveau, avec les filles et Elias on applaudit. J'aime cette ambiance, la musique à fond, les moteurs en marchent et tout le monde qui hurlent. On a comme l'impression d'être libre, c'est magique ! Je vois ma sœur sourire et applaudir, elle doit penser la même chose que moi. Je souris en l'a voyant heureuse.

Hector : Vous connaissez tous le chemin à faire alors à vous de jouer !

Il me fait signe pour que j'aille me préparer. Il me passe un foulard et je me place devant les deux voitures. J'entends plein de sifflements, Rafael ne me quitte pas des yeux. Celui qui est à côté de lui ne me lâche pas du regard non plus. Je lève le foulard, on peut entendre les moteurs en marchent. Ils se regardent entre eux puis ils reportent leurs attention sur moi. Je les regarde chacun leurs tours puis je baisse le foulard. Je reçois deux courants d'air une fois les voitures parties à toute vitesse. J'ai pus voir Rafael prendre l'avantage sur l'autre, je rejoins les filles et Elias.

Louisa : T'étais superbe !

Elias : Et sexy !

On rigole puis on attend que l'un des deux arrive en espérant de voir Rafael. Après une vingtaine de minutes, on voit une voiture arriver au loin. Elle se rapproche de plus en plus et on peut reconnaître la voiture de Rafael. On saute de joie quand il franchit la ligne d'arrivée. On hurle puis il sort de la voiture en venant me prendre dans ses bras. Il fait une accolade à Elias et on voit la voiture arriver quelques secondes après. Il sort de sa voiture et donne l'argent à Rafael en lui serrant la main après. C'est au tour d'Elias de faire la course, Hector vient nous voir.

Hector : Bravo mec ! Dit-il en faisant un accolade à Rafael toujours pas de nouvelles des flics donc on peut faire la seconde course. Prépare-toi ! Dit-il en s'adressant à Elias.

Elias prend la place de Rafael et se place à côté de son adversaire. Je reprends le foulard et me place devant eux. Elias me fait un clin d'œil, je lui souris puis je regarde son adversaire. Je lève le foulard, il commence à démarrer, je les regarde une dernière fois et je baisse le foulard. Comme la fois précédente, ils partent à toute vitesse. Elias à prit l'avantage comme Rafael, j'espère qu'il va aussi gagner. Je donne le foulard à Hector et je rejoins les autres en attendant Elias. Rafael m'entoure la taille de ses bras et pose sa tête sur mon épaule, je place mes mains sur ses bras et souris. Ma sœur discute avec Louise et Elise, je souris puis reporte mon attention sur la ligne d'arrivée. Après une vingtaine de minutes, on aperçoit une voiture au loin. Rafael se détache de moi et s'avance un peu. Elle se rapproche de plus en plus et on reconnaît la voiture. On sourit puis on se prend dans les bras, je suis trop contente ils ont grave gérés ! En aillant franchit la ligne d'arrivée, Elias sort de la voiture et saut sur Rafael.

Elias : J'ai grave géré !

On rigole puis l'autre voiture arrive. Il donne également l'argent qu'ils avaient pariés et ils se serrent la main. Elias le range dans sa poche quand on entend Hector crier.

Hector : LES FLICS ARRIVENT !

Avec Elias, Louisa et Louise on part à toute vitesses dans la voiture. On regarde si les autres sont bien dans une voiture puis on démarre.

Moi : C'est bon on a pas les flics au cul.

Elias : Parfait !

Après quelques minutes, Elias nous dépose moi et ma sœur. On leur fais un signe de main puis on rentre. On dépose nos affaires et on monte doucement pour éviter de réveiller ma mère, il est quand même une heure du mat ! Je m'étale sur mon lit en ne prenant pas la peine de me mettre en pyjama ou de me démaquiller. J'entends la porte de ma chambre s'ouvrir, je me redresse et aperçois ma sœur s'installer dans mon lit. Comme moi, elle n'a pas prit la peine de se mettre en pyjama ou de se démaquiller. On s'endort en peu de temps.

« Solo te amo »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant