Chapitre 1

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Paris, loft de Reena et Sasha, XVI ème arrondissement, 4 mars 2028, 14h

-Hé, Reena ! C'est toi qui devait faire tourner la machine avant-hier, non ?

C'était la voix de Sasha, qui criait de sa chambre. J'ai abandonné le roman que j'avais commencé la veille et j'ai répondu en criant, moi aussi :

-Oui, pourquoi ?

-Je n'ai plus de chaussettes propre, et j'ai un rencard dans moins de trois heures.

-Tu sais ce qu'a dit le patron à propos des relation hors personne de l'agence, non ?

-Oui et alors on travaille à l'ambassade de France de communication et d'espionnage du FBI. Cela ne veut pas dire qu'on n'est pas sensées avoir de vie à côté, non ?

-Fais ce que tu veux, mais je ne te couvrirais pas. C'est clair ?

-J'ai pas besoin de toi, t'inquiète.

-Si tu le dis, dis-je avec un haussement d'épaule.

C'était faux. Bien sûr que je la couvrirais du mieux que je pouvais (oui, je vous assure que c'est dur de caché des choses au Bureau Fédéral d'Investigation, même si on ne travaillait que dans une ambassade) et elle le savait. Soudain, se qu'elle avait dit plutôt rejaillit dans mon cerveau :

-Un rencard ? Et tu ne m'a rien dit ?

-C'est pour le boulot, grosse maligne. Dit-elle en débarquant dans ma chambre.

-Ha ce rencard là ! D'accord je comprend.

-Du coup ces chaussettes ?

-Je les ai mise à tournée hier soir, donc elles sont encore dans la machine. je répondis à sa question muette, Oui j'ai pris du retard. J'avais d'autres choses à faire.

-Comme ?

-Comme que on était en mission il y a deux jours, patate.

-Ah, oui, c'est vrai. Autant pour moi.

-Quoi tu à déjà oublié notre séjour à Lyon ! dis-je sur un ton faussement indigné.

-Oh, je vous pris de me pardonner très chère. fît Sasha en se prêtant au jeu, cela m'était sorti de la tête

-Hum, c'est vrai, je vous l'accorde, c'est mission était plutôt banale. Mais quand même cela ne fait que deux jours. J'ai peur que vous ne soyez atteinte de perte de mémoire passagère. je dis la dernière phrase sur un ton doctoral.

-Oh que c'est embêtant, mais cela doit-être vrai, car je perd tout le temps mes clés ces temps-ci.

À ces mots nous éclatons de rire. Effectivement il y a trois semaine, Sasha m'avait appelé totalement paniqué, parce qu'elle avait perdu ses clés. J'étais, à ce moment là, en réunion. Cela avait était un moment très gênant, quand je m'était levé, m'était excusé au près de mais supérieurs et avait filé secourir ma meilleure et seule véritable amie. J'avais filé au loft que le FBI nous loué, pour les cité je dirais : « Notre principale préoccupation est la santé et le confort de nos agent(e)s ».

Et là j'avais retrouvé Sasha qui sortait du loft toute contente :

-Mes clés était au fond de mon sac. Mais merci de t'être déplacé !

Ce jour là, j'ai failli l'étranglé. Pas seulement parce qu'elle m'avait fait me déplacé pour rien mais surtout parce qu'elle avait interrompu une réunion importante. Celle où mon patron m'avais communiqué les information sur notre prochaine mission. Les personnes qui détenaient le pouvoir ne nous convoqué pas ensemble, allez savoir pourquoi, même si, pour nos missions, nous étions presque toujours en duo. Ils informé leurs agents les un après les autres.

Ce jour là ils m'avait informé qu'il fallait que j'aille durant deux jours surveillé l'échange d'un colis suspect. J'étais en duo avec Sasha évidemment. La mission était des plus banale : Une grande réception devait avoir lieu dans une des nombreuses villa d'un des dignitaire, je ne sais plus lequel, qui devait recevoir plein d'autres personne guindé, notre rôle était de nous y rendre sous de faux noms et vérifier qu'aucun échange douteux d'aucune sortes n'était commis, car l'hôte chez qui nous étions infiltré était soupçonné de faire parti de la Mafia (en ce moment plein d'information était communiqué, de sois-disant source sure, sur la Mafia que ce sois des gang, réseaux ou autre). Bref deux jours à boire du champagne et mangé du caviar, dans une robe longue trop serrée, pour qu'il ne se passe rien. On avait pour ordre de récupérer les papier, document, paquet suspect que nous détecterions mais rien, absolument rien. Alors on était rentré et la surveillance de cet individu avait était suspendu jusqu'à nouvel ordre. D'une banalité extrême.

Aujourd'hui, Sasha avait était convoquée pour se qui ressemblait beaucoup à une nouvelle mission.

Bien il allait falloir attendre et sans doute demain serais-je convoqué.

-Hé, Sasha ?

-Oui, répondit l'intéressée en surgissant dans l'encadrement de la porte, une brosse à la main et sa tignasse blonde dans l'autre.

-Ça te dit qu'on aille en boite ce soir, après ton rendez-vous ?

-Je veux bien. Mais avant comment tu me trouve ? Demanda-t-elle

Je l'observais des pieds à la tête. Elle paraissait trop sérieuse pour quelqu'un la connaissant aussi bien que moi, mais pour une réunion son ensemble tailleur pantalon noir et blanc qui mettait en valeur ses formes généreuse était parfait. Elle avait ondulé ses cheveux d'ordinaire raide, et ressemblait un peu à Taylor Swift. Elle avait souligné ses yeux bleu d'un discret trait noir avait un rouge à lèvre rose sur ses lèvre charnu.

-Tu est parfaite ! dis-je en levant les deux pouces en l'air, On se retrouve au Blues Flamingos à 20h ?

-Ok, tu va faire quoi en m'attendant ?

-Finir mon livre ou regarder une série, Tu va être en retard dépêche toi !

-Ok, à toute à l'heure.

-À toute à l'heure.

Et je me replongeait dans mon roman(Agatha Christie).

C'est de sa faute.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant