Chapitre 4

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Paris, Ambassade française du FBI, n'ayant pas le droit de vous le communiquer l'arrondissement je m'en passerais, 5 mars 2028, 18h55

Une fois arrivée devant le grand bâtiment gris, je m'engageais par le portail que m'avait ouvert le gardien après que j'ai présenté ma carte d'identité et mon pass. Je débouché sur un parking à moitié vide et garait ma voiture près de la porte de l'ascenseur.

Une fois rentrée dans le bâtiment et arrivée dans le hall, je m'approche de la secrétaire et lui tend mon pass me donnant accès à la partie de l'immeuble réservé au personnel. Elle me sourit et me rendit mon badge.

Je me dirigeais vers la porte sur la droite de l'accueil et marchais dans le dédale de couloirs pour arrivé devant la porte avec l'écriteau « Salle de Réunion n°28 ». La salle indiqué dans le SMS que j'avais reçu ce matin. Je vérifiais mon apparence dans mon miroir de poche puis toquais à la porte.

La voix de mon patron retentit à travers la porte :

-Entrez !

Je m'empresse de pousser la porte et de pénétrer dans la pièce. C'était une grade pièce rectangulaire plutôt spacieuse avec comme seul élément une table qui occupé tout l'espace, à laquelle été assis 6 hommes et femmes entre 20 et 60 ans.

Je les connaissais tous sauf une femme d'environ 25 ans qui se trouvait la plus proche de moi. Mon patron se trouvé en bout de table et m'invita à m'asseoir d'un geste de la main. Il m'indiqua la chaise en face de l'inconnu. Je m'y installa et attendis tout en observant les visage familier des personnes autour de moi. Il y avait les deux sous-directeurs des opérations : une femme et un homme tous deux d'une quarantaine d'années. La femme qui s'appelait Murielle Loye était une femme plutôt grande avec de long cheveux poivre et sel attaché en chignon banane et un tailleur-pantalon bleu marine. L'homme quand à lui était cintré dans un complet bleu nuit et des cheveux noirs, sans doute teints, coupés court. Il avait un visage légèrement asiatique. D'après mes souvenir il s'appelait Jones Lee-Wong. Ils étaient tous deux assis de parts et d'autres de mon patron Lucas. Ils était rarement présents lors des réunion mais cela arrivé.

À leurs droite respective ce trouvait leurs secrétaire respectif. C'était deux jeunes femmes qui tenaient chacune un calepin et un stylo. Je les connaissais toutes deux car elles était souvent présente pour faire les comptes rendus des réunion à leurs patron, raison pour laquelle ceux-ci était rarement présent.

La femme toujours inconnu au bataillon me dévisageait amicalement avec un sourire. Je lui rendis son sourire et l'observais, elle était rousse avec des cheveux mi-longs. Elle devait être aussi jeune que moi et avait un visage avenant. je reportais attention sur Lucas, en espérant en apprendre plus sur l'inconnu.

Il me salua puis commença à expliqué l'objectif de la mission :

-Alors, mesdames, à oui j'ai oublié de vous présenter, Reena voici Lara Crofford, Lara voici Reena Leigh. Vous serez ensemble pour la prochaine mission.

Un peu surprise, j'observais ma nouvelle coéquipière. Mais mon patron m'interrompit :

-Reena, je suppose que vous vous demander pourquoi Lara et pas Sasha, n'est-ce pas ?

-Et bien effectivement, je me le demande.

-Pour la simple et bonne raison que nous la soupçonnons de trahison.

-Attendais quoi ? m'étraglais-je

-Oui nous pensons que l'individu Sasha Ward est une espionne à la solde de Giovanie Buca, qui n'est autre que le chef de la Mafia sicilienne Cosa Notra, qui à était libérer il y a 3ans.

-Non, c'est impossible, Sasha ne ferais jamais ça, c'est impossible, répétais-je.

-Ho tu sais que l'argent fait tourner bien des têtes, même les plus honnêtes.

-Heu je sais que vous étiez très proche peut-on revenir au fait. Je pense que quand tu auras les preuves cela passera mieux.

C'était ma nouvelle coéquipière qui avait intervenu.

Je me calmais, soufflais par le nez puis acquiesçais d'un mouvement de tête.

Lucas visiblement soulagé, se remit à parler :

-Très bien, comme vous le savez, vos téléphones portables, pour raisons de sécurité sont tracés et mis sur écoute. En lisant les messages que Sasha a envoyé à un certain Tom, nous en avons conclu que Tom était le bras droit de Giovanie Buca. Les messages parlaient de rendez-vous secret ou de colis à échangés. Cela fait presque 2 mois que ces échanges durent. Parfois le traceur du téléphone de Mrs. Ward était désactivé pendant environ 2 heures puis revenait sur nos écrans comme si de rien n'était. Nous en avons déduit qu'elle était complices de ces meurtrier, dileurs et j'en passe. Nous avons alors pris la décision de l'envoyé en mission pour filé deux soi-disant mafieux, qui sont en vérité deux agent infiltré. Et nous l'avons envoyé en mission avec l'agent Josh, dont nous avons plus de nouvelles depuis déjà 6 heures alors qu'il était censé nous faire un rapport toutes les 3 heures. Il était chargé de la surveiller mais nous pensons qu'elle l'a neutralisé, son téléphone est introuvable. Nous pensons donc que sa situation à dégénérer et nous vous prions d'aller voir ce qui ce passe en Italie. Cela te convainc-t-il Reena ?

-Cela me choque ! Je ne pense pas Sasha capable d'une telle trahison... Mais cette mission me fais plaisir, j'aurais au moins le loisir de le voir de mes propres yeux. Alors, quand partons-nous, dis-je en jetant un coup d'œil à ma collègue.

-Demain matin, 6 heures. En attendant, faite profil bas : pas de message ou autre à notre suspecte. Clair.

-Limpide, dis-je.

-Comme de l'eau de roche, dit- mon binôme.

Alors que je rentrais au loft maintenant vide, mais remplis de souvenirs qui me hantais, une seule pensé tourné inlassablement dans mon esprit :

« Pourquoi Sasha ne m'en avait-elle pas parler ? »

Nous nous disions tout, nos plus grand secret. A-b-s-o-l-u-m-e-n-t TOUT ! Elle savais que si elle faisait un truc illégal je la couvrirais, mais pourtant elle n'avait même pas mentionné Tom.

Je me fis réchauffé un reste qui traînait dans le frigo et le mangeais devant la télé en essayant de verrouiller mon cœur. C'était une mission importante. Je ne devait pas me laissais envahir par mes émotions. Je savais que demain, lorsque je me réveillerais je serais devenu un glaçon, enfin je l'espérais. Et je partis me couchais, pour dormir d'un sommeil sans rêve.

C'est de sa faute.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant