Chapitre 7

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Tirano, Province de Sondrio, Italie, 6 mars 2028, 7h00

J'atterris brutalement dans un des seul champs que j'avais remarquais. Je roulais sur moi-même et m'emmêlais dans les cordes de mon parachute.

Une fois dépêtrer de l'amas de toile et de corde que formait l'engin qui m'avait sauvé la vie, je me remis sur mes pieds et regardais autour de moi. J'arrivais à peu près à me repérer car j'avais remarquais certaines choses quand j'étais encore en haut. Par chance, le pré dans lequel j'avais atterris était à côté d'une route. Il devait être à environ 1 kilomètre du village. Il fallait que je m'oriente vers le grand chêne que l'on apercevais au loin. La route ne comprenait pas de croisement jusqu'au village alors je ne risquais pas de me perdre.

Alors que j'abandonnais mon parachute et commençais à marcher j'attendis une voiture arrivée derrière moi. L'idée de faire du stop me vint à l'esprit, puis je me souvins que j'étais sans doute poursuivis. Alors je plongeais dans le fossé et attendis que la voiture passe. Une fois l'auto au loin je me relevais et recommençais à marcher.

Grâce à mon entraînement, j'avais une très bonne endurance et atteignis le village en 10 minutes et en ne croisant que trois autres voitures.

Une fois arrivé dans le village, je mettais la main dans ma poche dans l'espoir d'y trouver mon téléphone, mais malheureusement il n'y était plus, sûrement envolé dans mon saut en parachute.

Alors, je demandais à une vieille dame avec un cabas rouge la direction de l'hôtel le plus proche. Elle me jeta un regard méfiant. Je me rendis compte de mon état, j'avais l'arcade sourcilière ouverte et un filet de sang le long de ma tempe, de la cendre et de la boue sur mes vêtement déchirés et mes cheveux était en batailles. Mais la dame n'avait pas l'air de vraiment s'en soucier plus que ça elle m'indiqua un hôtel près du musé.

Une fois à l'endroit indiqué, je remarquais une pharmacie et m'y arrêtais pour acheter du désinfectant et des stéristrips, par chance ma carte de crédit se trouvait dans la poche intérieur de ma veste ainsi que mon passeport sous le nom de Marriana Glowi. La dame à l'accueil, une jeune femme aux cheveux blonds cendrés me regardais d'un drôle d'air mais ne dit rien.

Avec mes achats en mains, je me rendis à l'hôtel où les même regards me suivirent. Je pris un chambre pour la nuit et les horaires de bus pour Milan.

Je montais dans ma chambre, elle était modeste mais correcte, un lit "une place", une table avec un téléphone pour le self-service et un ordinateur, une télé fixé au mur beige et une penderie avec un peignoir, une porte donnait sur la salle de bain qui comportait une douche, des toilettes et un lavabo avec les échantillons habituels. Après avoir fait le tour de ma chambre, vérifié qu'elle n'était pas surveiller et avoir désinfectais ma plaie, je sortis pour aller au super marché le plus proche.

D'abord un téléphone et une carte SIM. Puis j'achetais un t-shirt noir moulant, un jean noir et une ceinture ainsi qu'une veste de même couleur que le reste. Puis je me dirigeais vers le rayon coiffure et achetait des extensions "tie and dye" pour cacher mon carré plongeant et des élastiques ainsi qu'une brosse. Puis du maquillage et des lentilles. J'étais recherché par des gens et de la mafia italienne et d'un gang de région Parisienne, alors je prenais toute mes précautions.

J'avais passer 2 heures à me préparer, mais le résultat était convaincant. J'étais désormais une femme avec des cheveux d'un dégradé de châtain jusqu'au blond qui lui tombaient à la taille, des yeux bleus et une silhouette fine.

Je commandais des pâtes carbonara et une salade de fruits au self-service. Puis je m'enroulais dans ma couette malgré le fait qu'il soit 11 heures du matin. Je dormis mal. J'étais sans cesse réveillais par l'image de Clark qui appuyait sur la détente. Effectivement, les dernières heures avaient était consacré à ma survie et je n'avais pas eu le temps de faire le deuil de Lara.

Je me réveillais complètement après 3 heures de sommeil m'attela à ma tâche : J'envoyais un mail crypté au FBI pour leur faire un rapport, puis étudiais les horaires de bus et décidais de prendre celui de 9 heure, le lendemain. Ensuite j'eus une conversation crypté avec Lucas qui m'expliquas que je devais continué la mission et que des billets d'avions ainsi qu'un autre agent m'attendrais à Milan le lendemain à 11 heures.

Une fois ce problème réglé, je me rendormis.

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⏰ Dernière mise à jour : May 14, 2020 ⏰

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