C'est de sa faute.

Chapitre 6

Toujours dans l'avion mais dans une situation un peu plus encombrante, quelque part mais allez savoir où, 6 mars 2028, 6h40

Le premier homme qui était rentré dans l'avion me dit :

-Hé, toi là ! Tu bouge, je te crible de balles ! C'est clair ?

-Limpide, répondis-je entre mes dents serrées

Je priais très fort pour que Lara, qui s'était cachée dans les toilettes, trouve un moyen de nous sortir de là, entière si possible.

Pendant ce temps, l'un des quatre homme se dirigea vers le cockpit. Il y entra, puis nous entendîmes des bruits de lutte pendant que l'avion piquait du nez.

Tout ce qui se trouvait sur les tables, les sièges et les porte bagages volèrent à travers la pièce. Mes assaillants furent déséquilibrés, mais je me repris assez vite et attrapais mon pistolet qui avait volé à quelques centimètres de mon pied droit. Je tirais une balle vers la jambe de l'homme le plus près de moi. Elle atteignit sa cible dans un bruit mat. Le propriétaire de la jambe hurla et porta la main à sa cuisse qui saignait abondamment. Les deux autres se relevèrent rapidement en braquant leurs armes sur moi. Je savais qu'ils n'allaient pas tarder à tirer, lorsque l'avion se redressa brusquement.

Nous décollâmes tous et nous assommèrent contre le plafond. Visiblement quelqu'un avait pris le dessus. J'espérais très fort que c'était le pilote mais je ne me faisais pas plus d'illusions.

Nous étions tous sonnés et se fût le moment que choisit Lara pour surgir de sa cabine. Elle nous avez sûrement observé par le trou de la serrure car elle semblait savoir qu'ils avaient des gilets par-balles. Elle visa les jambes des hommes à terre. Elle eu le temps de tirer deux balles, l'une dans le bras non protéger de l'un et l'autre dans le mollet d'un autre, avant que celui que je supposé en train de piloter surgit et la plaqua à terre. Elle étouffa un grognement essaya de se dégager mais l'homme avait une trop forte poigne. Lara lui mordit donc l'oreille, l'homme hurla et relâcha assez sa poigne pour qu'elle puisse lui arracher son casque.

Sous celui-ci se trouvait un homme d'une trentaine d'années, les cheveux décolorés et coupé en brosse. Il avait deux cicatrices au milieux des joues en formes de crochets de serpents. La haine brûlait dans ses yeux.

Lara eu un moment de stupeur puis dit :

-Clark ?

-Ouais ma belle, ta jolie copine ne m'a pas dénoncé. Elle, elle sait ce que veut dire « Loyauté en vers un être cher », cracha t'il d'une voix sifflante avant de se relever et de fixait la jeune femme au cheveux roux, Mais toi, toi tu l'as trahi, tu l'as dénoncé, tu l'as fait enfermé. Et tu te prétendais son amie. Laisse moi rire. Mais vois-tu, le patron n'a pas trop apprécier le fait que son espionne favorite se soit fait mettre sous les barreaux, ainsi que le tiers de ses hommes de mains. Comme tu dois sûrement le savoir, notre chef a de très bon rapport avec Mister Buca. Il l'a contacté et il a appris de sa bouche que tu étais en mission pour renversais certain de ses espions. Ils ont alors passé un accord, notre chef envoyait ses hommes dans l'avion des deux agents envoyées sur place et les tuer. En échange Mr. Buca nous envoyé armes, hélicoptère et gilets par-balles. Du coup me voici me voilà. Pour vous tuer.

Pendant ses longues explications, tout le monde avait repris ses esprits. J'avais attrapé mon pistolet et le gardais discrètement pointé vers l'œil droit de l'homme à la face visible. Tandis que les autres homme avaient récupéré leur seule armes qui n'était pas passées par le trou de la porte.

L'un des homme s'approcha et tendis l'arme restante à celui au cheveux décolorés. Celui-ci l'attrapa et la pointa vers la tête de Lara.

Pendant ce temps j'avais lâché mon arme et essayais de détacher un des parachutes qui se trouvait sous les sièges.

Celle-ci essaya de gagner du temps en espérant que j'allais lui sauvait la mise :

-Ben alors Clark qu'est ce que tu a donné au pilote pour qu'il évite d'écraser ton beau minois contre le sol, hein ?

-Il ne me semble pas t'avoir autorisé à parler, dit-il d'un ton mielleux, pour c'est te faute je vais appuyer sur cette gâchette, une balle va sortir du canon. Ce même canon qui à convaincu le pilote si tu vois ce que je veux dire.

Et avant que personne n'est pu réagir il tira. Une fois, deux fois, trois fois. À la troisième fois, Lara arrêta de gémir et mourut.

Je serrait les dents. Je n'avais pas réussi à la protéger. Mais maintenant il fallait se concentrer sur sa propre survit. Si j'avais bien compté, il ne restait que trois balle a Clark et ses hommes. Nous étions donc a égalité. Alors que ces pensées se bousculé dans ma tête, je réussi à libérer le parachute. Je le sanglais en vitesse alors que l'un des hommes criait :

-Et l'autre pétasse elle est où ?

Je serrais la dernière sangle et criais à mon tour :

-Je suis pas une pétasse, connard !

Je passais en courant à côté de Clark et de celui qui lui avait donné l'arme.

J'assénais un coup de crosse au meurtrier de Lara et un coup dans les parties intimes de l'homme casqué. Le tueur s'effondra, sonné, tandis que l'autre gémissait en se tenant ses parties meurtries. Je me penchait et récupérais l'armes de Clark puis tira deux balles, une de chaque, qui allèrent transpercé une des deux jambes de chacun des hommes restants. L'un tomba en criant, alors que l'autre dit en hurlant :

-Putain c'est la troisième ! T'as n'as pas marre ! puis il s'effondra.

La voix était libre, je sprintais jusqu'à la porte et m'apprêtais à sauter lorsque Clark, qui s'était remis me sauta sur le dos. Mais son poids me fit perdre le contrôle et nous chutâmes tous les deux.

Clark s'accrocha à ma jambe, mais je lui donnais un violent coup de pied dans le nez et un second dans la mâchoire. Il lâcha prise et tomba en chute libre alors que j'ouvrais mon parachute. Je regardais sous moi et j'aperçus une ville toute proche. En manipulant mon parachute, je me dirigeais au plus près de celle-ci. Je pensais ironiquement :

"Bah, une attaque et un saut en parachute d'un avion assailli, c'est mieux qu'un café pour se réveiller le matin!"