Petite, mes nuits étaient si souvent agitées
Troublées par des visions me hantant, toujours noires
Si bien que ma grand mère m'en a fait don un soir
Et ces cauchemars ne m'ont plus jamais visitéeSon cerceau de saule est bouclier de mes songes
Les mauvais rêves, capturés par son grand filet
Sont brûlés par les lueurs du jour qui les ronge
Tradition ancestrale des fumeurs de calumet
Seul le bénéfique est admis par l'aigle sacré
Qui de ses plumes légères octroie protection
À ceux qui l'invoquent, et son amie araignée
En tissant sa toile purifie nos visions
Libérant notre esprit des mauvaises énergies
Filtre constituant une relique mystique
Talisman provenant de la mythologie
A capté tous ces parasites oniriquesGrâce à lui mon repos est paisible et serein
Et l'Eldorado devient à portée de main
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Les 45 Jours
PoesíaAu commencement était une chose, une sensation Un mot, une couleur, qui a formé l'idée Un agrégat informe modifié par l'action Du dieu de tout temps maudit, son humanité Rejetée. En marge de notre société Son grand pouvoir effraie tout autant qu'i...