Samedi 10 septembre 2011

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Ce matin, réveil plutôt matinal. Enzo avait sonné chez moi à 7 heures. J'avais complètement oublié que je devais allé courir. Mon père est donc venu me réveiller. Je n'avais pas très envie de sortir du lit. Mon ami était tellement motivé, que c'est lui qui m'a levé.

30 minutes plus tard, j'étais prêt pour ma première séance de sport. Mon père me souhaita bonne chance et nous sommes partis arpenter les rues de la ville. 

Au bout d'un kilomètre, je commençais à être essoufflé. Enzo s'arrêta et me conseilla de respirer. Je ne savais pas comment faire, il m'expliqua certains exercices. Je mis ses conseils en application aussitôt. Nous avons repris notre chemin. Nous avons couru pendant au moins 1 heure

A mon retour chez moi, mon père était déjà parti au travail et m mère venait de se lever. Je l'ai rejoins dans la cuisine pour boire un grand verre d'eau. Elle me demanda comment ça c'était passé. Je lui ai expliqué que c'était très intense et que j'ai failli mourir plusieurs fois sur le trajet. Elle se  mit à rigoler, me dis au revoir et elle partit au travail. Je me retrouvais donc seul pour le reste de la journée. Je suis allé prendre une bonne douche pour me détendre.

10 minutes plus tard, je suis sorti de la salle de bain. Je me sentais un peu seul à la maison. Je me suis donc posé dans le salon, devant la télé. J'étais tellement concentré dans l'émission que je regardais, que je me mis à sursauter lorsque mon téléphone sonna. Je me demandais qui pouvait m'appeler :  Il s'agissait de Marie. Je répondis aussitôt. Elle avait une toute petite voix. Je pense qu'elle venait de se réveiller. Elle me demanda comment s'était déroulé mon footing. Je lui expliqua alors que j'ai cru que j'allais mourir. Elle me mit à rigoler pour se moquer de moi. Nous avons discuté comme ça pendant un bon moment.

12 heures, je ne savais pas quoi manger. J'ai appelé Enzo pour aller manger ensemble. Il accepta avec plaisir. Il proposa même à Mathilde de venir avec nous. 5 minutes plus tard, mes 2 amis sonnaient à la porte.

Nous sommes allés dans un restaurant où nous devions préparer notre propre sandwich. Ne connaissant pas le principe, Enzo et Mathilde sont passés avant moi pour me montrer. Nous devions choisir notre pain, notre viande, nos légumes ou accompagnements, et notre sauce. Nous devions prendre un dessert et/ou une boisson. Le menu n'était pas très cher, c'est donc pour cela qu'il y avait de jeunes et d'étudiants. D'ailleurs, le personnel était des étudiants. Nous avions choisi "A emporter" et nous nous sommes installés dans un parc non loin de là. Il faisait encore beau et chaud en se mois de septembre. Notre repas terminé, nous avons décidé d'aller faire quelques boutiques. L'air frais dans les magasins. Je me surpris à parler de ma passion pour la lecture. Mathilde décida de m'emmener dans une libraire connue nationalement. J'étais aux anges. Dans cette boutique, il y avait de tout. J'ai jeté mon dévolu sur plusieurs romans que je voulais depuis longtemps. Mes amis me regardaient bizarrement. Il faut dire qu'à Paris, les librairies ne couraient pas les rues. J'allais enfin pouvoir compléter la grande bibliothèque qui ornait ma chambre. Je suis donc ressorti pour 50 euros de livres. 

De retour chez moi, il y avait mon père. J'étais étonné de le voir de si bonne heure. Il m'expliqua qu'il ne travaillait pas ce week-end. Il m'expliqua qu'il avait un week-end sur deux de repos. Il me demanda où j'étais, et je lui expliquai ma journée avec les voisins. Il acquiesça et alla préparer le dîner. Il voulut préparer un gratin dauphinois, avec en viande des boudins. Pendant ce temps, je suis allé prendre ma douche. J'avais encore passé une excellente journée avec mes amis. 

10 minutes plus tard, je suis sorti de la douche. Je me suis séché, puis habillé : j'avais mis un bermuda et un tee-shirt. De quoi être à l'aise pur une soirée entre garçon. 

19H30, le repas était prêt. Nous sommes à table dans le salon. Pendant le repas, il me demanda comment se passait ma relation avec Marie. Je lui expliqua que tout allait bien, seule la distance me pesait. Quelques minutes après avoir commencé à manger, le téléphone familial se mit à sonner. Mon père alla répondre. Il revint quelques seconde après, combiné à la main. Mon père me le tendit : en regardant le numéro, je reconnu celui de Marie. Mon visage était subitement devenu heureux. Je lui demanda immédiatement comment s'était passé sa première journée de travail. Elle m'expliqua que tout s'était bien passé. Sa patronne lui avait expliqué comment fonctionnait le salon. Pour le début, Marie avait accueilli les clients, suivi sa patronne. Elle était motivée. J'étais fier d'elle. Marie m'expliqua qu'elle était en repos le dimanche et le lundi. Elle allait pouvoir se reposer. Elle répondit à la négative. Marie voulait en profiter pour apprendre à coiffer. Elle avait reçu de son école tout un set avec du matériel ainsi qu'une tête à coiffer. J'étais content pour elle. Tout en lui parlant, mon père et moi étions en train de manger. 

Le repas terminé, et moi toujours au téléphone avec Marie, je laissais mon père ranger la cuisine seul. Je me suis dirigé vers le salon où je me suis installé sur la canapé.

Quelques minutes plus tard, Marie raccrocha. Entre temps mon père m'avait rejoins. Nous avons mis les informations.

Totalement épuisé, je suis monté me coucher vers 21H30. A peine dans mon lit, je m'endormis aussitôt.

Le journal de JoachimOù les histoires vivent. Découvrez maintenant