Partie I : Katsudon

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NdA : Ce petit HUM HUM HUM long, très long bonus a été écrit pour l'anniversaire d'une amie. Il faut savoir que l'auteure -qui n'était pas safe- était en manque cruel de sommeil et de yaoï et qu'une demi tablette de chocolat y est passée. Yamiko ne m'appartient pas, Aiko a quatre livres dédiés à elle, à vous de les lire ou non.(au début le Sasunaru était censé être du Sakusasunaru parce que c'était le seul compromis trouvé avec mon amie ^^)

Bonne lecture !

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C'était un jour comme tous les autres, nous rentrions à peine du studio d'Orochimaru (Montmartre), les instruments bien au chaud dans leurs étuis lorsque le gnou mort –téléphone- se mit à sonner.

- TOOO LATE TO APOLOGIZEEEEEEEEE !

Mettons les choses au clair dès maintenant : je n'ai pas choisi cette sonnerie et ça mes compagnons de musique le savent déjà puisque nous nous partageons le même téléphone depuis un bon bout de temps. (Ca éloigne les fangirls qui ne savent jamais sur qui tomber.)

Non parce que dans le métro ça pouvait sembler louche, surtout à 18h00 sur la 2 aux horaires de pointe. Nos instruments ainsi que nos dégaines de musicien n'aidaient clairement pas et les gens commençaient à nous dévisager avec dégout.

- TOO LATE, TOO LATE TO APOLOGIZEEEEEEEE !

Un soupir amusé apparus les visages d'Akatsuki, nous étions blasé de cette situation. Un vague murmure souffla sur la foule et certains se mettaient à grogner dans leur coin d'indignation.

A ces Parisiens, je vous jure...

- APOLOGIZE !

Je me tournais comme je pus vers Pain (je rappelle que nous étions en heure de pointe), le leader du groupe et demandais avec le plus calme possible :

- Tu passes le téléphone chef ?

J'aurais juré le voir lever les yeux aux ciels ce qui arracha un sourire en coin à a peu près tout le groupe. Après une longue manipulation toujours due aux nombres présente dans cette rame de métro Nagato me passa le gnou mort X –téléphone-. Mon doigt ripa sur la surface lisse pour décrocher, voulant éviter à tout prix que cette sonnerie ne se remette à retentir.

- Oui allo Ototo ?

Les sonneries de ce maudis gnou mort –téléphone- étant personnalisées je savais pertinemment qui se trouvait à l'autre bout du fil.

- On peut venir chez vous ce soir ?

Je fronçais involontairement des sourcils.

- Qui ça, « on » ?

La réponse vint comme une évidence.

- Bah Naru-chan, Sakura et Yam et moi.

Je jetais un rapide coup d'œil au Boss en pleine discussion chuchotée (les normes du métro, vous connaissez ?) avec Konan et Hidan.

- Je ne sais pas si avec le corona ça passe et puis on a beau avoir dix chambres ça va faire serré.

Quoi que, connaissant Hidan et Yamiko...

- Nii-San, Yam dormira avec son petit lapin blanc et nous on prendra la chambre à trois.

Nous sommes en guerre -AKATSUKI CONFINEMENT-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant